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21 mars 2022 1 21 /03 /mars /2022 13:35

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27 février 2020 4 27 /02 /février /2020 11:46

Vous trouverez ci dessous le lien menant vers une vidéo des Observateurs de France 24 sur le déguerpissement d'Adjouffou, la misère des étudiants dans les universités et quelques autres images plus reluisantes du quartier du Plateau le "Petit Manhattan" d'Abidjan

 

Reportage France 24

Etat de l'universite FHB

France 24 après avoir été le témoin privilégié de l'annonce des résultats de la présidentielle 2010 à l'hôtel du Golf, chercherait elle à redorer son blason quelque peu terni ??

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20 octobre 2017 5 20 /10 /octobre /2017 16:15
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15 février 2017 3 15 /02 /février /2017 16:27

Je ne connais pas de près celui que ses admirateurs appellent le Prado. Mais face à ses dernières décisions en vue de favoriser, consolider et cimenter la réconciliation nationale, je voudrais l’interpeller.
Non, monsieur, l’arrestation de six journalistes n’était pas la chose à faire. L’un d’entre eux, dont la santé est précaire, avait besoin de médicaments, de soins, d’un minimum de confort. Pourquoi Monsieur Ouattara, pour lequel toute une équipe médicale s’agite au moindre signe alarmant, ne fait-il jamais preuve de cette empathie que l’on attendrait d’un Président digne de ce nom, représentant de tous les Ivoiriens ? Depuis votre irruption en Côte d’Ivoire, le pays s’est retrouvé coupé en deux: flatteurs de tout poil et camp des rattrapés d’un côté, et de l’autre, ces millions d’Ivoiriens qui avaient découvert avec Laurent Gbagbo une Côte d’Ivoire qui se relève, qui apure ses dettes; une Côte-d’Ivoire riche d’une jeunesse studieuse parce que promise à l’instruction, et qui espérait en recueillir bientôt les fruits, en devenant actrice de l’essor et de la prospérité du pays.
Monsieur Ouattara, quant à lui, n’a jamais misé sur l’instruction. Tiré de son village – quel qu’il soit… –, puis envoyé à l’étranger pour y bénéficier d’une bourse d’études l’ayant conduit jusqu’au doctorat d’économie, Monsieur Ouattara a choisi d’installer au ministère de l’Education nationale l’inamovible dame au joli minois que l’on sait, de toute évidence plus apte à organiser des compétitions sportives ou le concours de “miss Côte d’Ivoire”, qu’à encadrer la préparation des élèves au BEPC et au baccalauréat.

Quant à ses titres, certificats et autres parchemins, ils ne lui auront servi à rien, puisqu’il ne s’est montré à aucun moment capable de passer de la théorie à la pratique : son mythique carnet d’adresses, et ses promesses de pluies d’or et d’argent n’ont jamais fécondé le moindre investissement gagnant-gagnant ! Là où Feu le ministre de Laurent Gbagbo, Antoine Bohoun Bouabré, avec moins de diplômes, avait fait merveille grâce à son budget sécurisé : diminution de la dette, amélioration du niveau de vie des paysans dans la filière café-cacao, études possibles pour tous les enfants, perspective de la mise en place imminente d’une assurance maladie universelle pour tous les ivoiriens…
Il y a trois jours, six journalistes ont été arrêtés : on ne leur reprochait pas moins que d’avoir porté atteinte à la sécurité de l’état ! Quand des mutins réclamant la part de butin qu’ils n’ont pas reçue pour avoir prêté main forte à la rébellion et contribué par la violence à installer Ouattara à la présidence, obtiennent gain de cause en prenant le pays en otage, n’est-il pas évident que cette “faiblesse” du chef qui cède enfin, va faire boule de neige chez les autres copains ?

Les enseignants et fonctionnaires du pays rappellent depuis des mois, voire des années, les arriérés de salaires qui leur reviennent : ce qu’ils réclament est pourtant bien un dû, pas le pourboire promis pour bonne conduite aux tueurs de la rébellion. Mais il leur est répondu “non !”, parce qu’ils ne sont pas armés, et donc pas en mesure d’intimider comme ces soi-disant militaires qui osent défier leur Chef, accessoirement Premier Magistrat de la nation ! En Côte d’Ivoire aujourd’hui, ce n’est qu’en s’imposant par la force que l’on obtient gain de cause. Alors que la revendication des fonctionnaires relève bien de la dette que l’Etat se doit d’honorer, la “facture” des mutins ne peut être adressée qu’au toujours actuel chef de la rébellion, même si celui-ci est entre temps devenu, grâce à la France, le Président Ouattara. Notre grand Économiste, qui réussit à remplir ses caisses personnelles en vidant celles de l’Etat, se serait enrichi de 27 milliards de dollars en quatre ans selon des indiscrétions de la DGSE. Mais malgré cette immense richesse accumulée, la “dette” sauvage du chef rebelle devrait encore être payée par les deniers publics…
Soixante heures durant, six journalistes ont été détenus pour avoir osé affirmer que même la dernière des vagues de mutins, celle des Forces Spéciales, a obtenu gain de cause. Certes, ces derniers ont officiellement demandé pardon, reconnu leur erreur, et renoncé à leurs revendications. Mais dans ce pays gangrené jusqu’à la moelle, qui peut croire que les premiers mutins ont été exaucés et pas les derniers ? Pourquoi Mr Ouattara aurait-il dormi au 43ème Bima, s’il avait pu se reposer sur son armée, sur sa garde rapprochée ? Pourquoi cette valse de chaises dans l’armée et la gendarmerie, si la confiance y régnait ? Il est facile d’envoyer promener les fonctionnaires, ils ne sont pas armés ! Même les médias étrangers TV5, RFI, BBC, parlent du chantage exercé par les rebelles et de l’empressement de Ouattara à accéder à leurs requêtes !

 

Alors, faut-il blâmer des journalistes qui, en rapportant des faits, ne font que leur devoir ? Les médias ne sont-il là que pour encenser un pouvoir agonisant et aux abois ? Les ivoiriens sont-ils naïfs au point de croire que ce président qui leur a été imposé, qui ne se maintient au pouvoir que grâce à sa milice, ces pseudo-militaires sans foi ni loi, capables d’ériger des barrages routiers pour rançonner l’arme au poing des citoyens sans défense, aurait subitement réussi à transformer en agneaux ces fauves à qui il continue à tout devoir ?

Côte d’Ivoire: Ado, où la rébellion présidentielle

 

Former Ivorian Prime Minister and President of the Rally of Republicans (RDR) Alassane Ouattara (L) speaks with Ivory Coast rebel leader Guillaume Soro 23 March 2006 in Katiola, northern Ivory Coast. Alassane Ouattara expressed his confidence 23 March in national reunification during his first visit to the rebel-held north in three and half years. Ouattara was last in the region in July 2002 during local government elections there. Two months later, the rebels took control of the north of the country after a foiled coup attempt against President Laurent Gbagbo. AFP PHOTO ISSOUF SANOGO

Monsieur Ouattara, abandonnez les conseils de vos suiveurs, payez votre dû sur vos propres deniers – ces deniers volés au peuple ! –, versez aux fonctionnaires les salaires auxquels ils ont droit, cessez d’humilier vos enseignants. La force d’un pays, c’est sa jeunesse : cessez de ne regarder qu’à travers la lorgnette de vos copains rebelles, car eux aussi prennent de l’âge, comme vous. Votre épouse même, – à laquelle le courage semble cruellement faire défaut, puisqu’elle s’est mise à l’abri en France –, votre épouse même vous trompe, avec son visage intemporellement lifté. Oui, le temps passe, et chaque jour apporte son lot de victimes. Vous ne pouvez vous obstiner à feindre de croire, avec les dépêches de l’AFP, aux seuls 3000 morts de la guerre postélectorale. En bientôt six ans de votre régime, l’hécatombe n’a jamais cessé, car rien ne fonctionne dans ce pays.

Enfermer six journalistes qui, renseignés sur place par des témoins dignes de foi, relayent des informations avérées, est-ce là un acte courageux ? Ce brusque silence des mutins, leurs “regrets”, leur demande de pardon, s’apparente plutôt au silence du chat qui a eu sa pâtée, et qui repu, se lèche les pattes. Jusqu’à la prochaine fringale…

Le courage, Monsieur, c’est de savoir assumer ses erreurs. Votre peuple – mais est-ce bien le vôtre ? –, ce peuple est brave, il a reçu des coups, il a été humilié, dépouillé, rendu orphelin de pères de mères, en deuil de ses enfants; il est sans travail, sans ressources, sans avenir. Face à lui, vos enfants et beaux-enfants ont amassé des fortunes sans le moindre effort ! Le peuple n’a pas encore répondu au mal par le mal, mais sa patience est à bout. Il ne peut plus vous suivre dans votre Com et votre étalage d’amis tous plus corrompus les uns que les autres. Ne serait-il pas temps que vous vous arrêtiez pour réfléchir et changer de cap ?
Vous qui aimez les personnages français, prenez exemple sur le général de Gaulle qui en mai 1968 a eu à faire face à des émeutes, un soulèvement ! Comportez-vous en chef d’Etat et non en despote qui ne sait qu’abaisser, humilier, mépriser. La domination par la force n’a qu’un temps; si vous ne voyez pas de porte de sortie viable pour le pays, alors faites amende honorable et demandez avec nous la libération du président Gbagbo. Si vous aimez la Côte d’Ivoire comme vous le dites, œuvrez pour son bien et non pour sa perte.

Tous connaissent votre image du “bateau Côte d’Ivoire”, voguant vers l’Emergence 2020. Mais à vous qui avez beaucoup voyagé par les airs, je suggère une autre illustration, puisée dans le domaine de l’aéronautique : il s’agit de l’avion où s’entassent pêle-mêle tout le personnel de votre administration étatique. Un bateau peut toujours se diriger, grâce à sa voilure, aux courants marins, quitte à dériver; mais l’avion gouvernemental de votre horizon 2020, privé du carburant de la confiance du peuple (née de tout ce qui n’est pas dette, mais au contraire richesse économique, essor, entreprises, universités performantes, hôpitaux et médicaments, soins, emploi, etc…), votre avion ne peut que se crasher à court terme. Votre avion n’est pas un planeur, tout ce beau monde qui a œuvré à vos côtés pour dépouiller et dépecer la Côte d’Ivoire est bien trop lourd pour l’“Adoflotte”. Vite, enfilez votre parachute avant qu’il ne soit trop tard, car le crash sera terrible, et rares seront les survivants…

Alors, préparez votre sortie dans l’atmosphère du monde réel : payez votre dû, tentez de réparer ce qui peut encore l’être. Hâtez-vous d’utilisez vos milliards pour faire, dans le peu de temps qui vous reste, le bien que vous pourrez, au lieu de continuer à enrichir des générations d’égoïstes à votre image.

Et enfin, laissez à l’Histoire et aux Ivoiriens le soin vous juger.

Shlomit Abel, 15 février 2017

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15 février 2017 3 15 /02 /février /2017 16:13

Par Hamsatou Anabo

Les organisations professionnelles des médias ivoiriens ont menacé mardi de « boycotter les activités du gouvernement » si les six journalistes interpellés dimanche pour « divulgation de fausses informations » sur la mutinerie de soldats des Forces spéciales « étaient déférés » à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA).

« Les organisations professionnelles des médias viennent de décider de boycotter les activités gouvernementales si nos confrères sont déférés ce soir », a écrit sur sa page facebook, le président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), Moussa Traoré, à l’issue d’une réunion à la maison de la presse.

Dimanche, Vamara Coulibaly, Yacouba Gbané et Franck Bamba Mamadou, respectivement directeurs de publication des quotidiens ivoiriens l’Inter et Soir Info (indépendants), Le Temps et Notre Voie (opposition), qui répondaient à une convocation, ont été arrêtés et incarcérés dans le camp de gendarmerie d’Agban.

 

Du camp d’Agban, les six journalistes ont été conduits mardi dans la matinée à la brigade de recherche d’Abidjan pour être entendus par le procureur de la République de Côte d’Ivoire, Christophe Richard Adou.

Leurs collaborateurs Hamadou Ziao (rédacteur en chef de l’Inter), Jean Bédel Gnago (Soir info) et Ferdinand Bailly (Le temps) sont également détenus pour les mêmes raisons.

Des militaires des Forces spéciales ont lancé il y a une semaine, un mouvement de protestation à Adiaké (95 Km d’Abidjan), pour exiger le paiement d’une prime individuelle de 17 millions FCFA.

Des échanges ont eu lieu entre les soldats et les émissaires du gouvernement notamment le Chef d’état-major de l’armée ivoirienne, le général Lancina Doumbia et le général Vagondo Diomandé, le chef d’état-major particulier du chef de l’Etat Alassane Ouattara, suite à ce mouvement.

Deux civils ont été blessés par des balles perdues, lors de cette mutinerie de ces soldats, selon un bilan du gouvernement.

Depuis le début de l’année, le gouvernement ivoirien fait face à une série de mutineries dans les casernes. Des soldats réclamaient le paiement de primes d’environ 12 millions FCFA dont les premiers versements ont débuté le 16 janvier.

Les organisations et associations professionnelles de la presse qui ont condamné « l’arrestation des journalistes » ont exigé lundi leur « libération immédiate ».

Alerte info/Connectionivoirienne.net

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15 février 2017 3 15 /02 /février /2017 15:56
 


 

Cetains compatriotes pensent que Laurent Gbagbo aurait dû se montrer démocrate jusqu’au bout (et pas seulement quand cela l’arrange), c’est-à-dire suivre la majorité des Ivoiriens opposés à une modification de l’article 35 de notre Loi fondamentale (cet article exclut de l’élection présidentielle toute personne ayant un parent non-ivoirien et s’étant prévalue d’une autre nationalité) plutôt que de s’appuyer sur l’article 48 de la même Constitution pour autoriser Ouattara à briguer la présidence de la République. Ils considèrent cette autorisation comme une grave erreur. Pourquoi? Parce que, d’après eux, c’est la seule chose qu’attendaient Ouattara et ses soutiens occidentaux pour faire ce qu’ils firent par la suite: refuser le désarmement des rebelles pourtant inscrit dans l’accord de Ouagadougou, fraudes et bourrage des urnes dans le Nord, proclamation des résultats provisoires par Youssouf Bakayoko dans le QG de Ouattara, bombardement des camps militaires et de la résidence du chef de l’État par les forces franco-onusiennes, etc. Sur ce point, je suis pleinement d’accord avec Mamadou Koulibaly, Affi N’Guessan et tant d’autres, tout comme je partage l’avis de ceux qui estiment que, avant que les positions ne se radicalisent de part et d’autre, et même si Affi avait dit et fait des choses détestables et condamnables, le chef aurait dû le recevoir et l’entendre aussi. À un ami qui trouvait normal que Laurent Gbagbo n’ait rencontré qu’un camp, je dus simplement poser la question suivante: si tu es en palabre avec ton frère et que seule sa version des faits est sollicitée et validée par ton père, ce dernier ne te semblera-t-il pas partial et injuste? Sur-le-champ, je n’obtins pas de réponse à ma question. C’est longtemps plus tard que l’ami admit que la sagesse et la justice commandaient que le chef écoutât les deux parties avant de leur dire ce qu’ensemble elles devraient faire ou non pour sauver la Côte d’Ivoire.

Laurent Gbagbo n’a jamais nié avoir commis des erreurs. ni prétendu que tout allait bien dans le pays quand il en tenait les rênes. Plusieurs fois, il a fait montre d’humilité, s’est abaissé, pour que la Côte d’Ivoire puisse se relever. Mais être humble ne signifie pas se laisser piétiner ou brader des principes auxquels on a cru, toute sa vie. Et l’un des principes auxquels Gbagbo tient comme à la prunelle de ses yeux, c’est que courber l’échine devant l’ennemi sous le fallacieux prétexte qu’il est trop fort est à la fois inutile et indigne. Et c’est sur ce point que je suis en profond désaccord avec certains de nos frères qui n’arrêtent pas de clamer que, si nous voulons libérer notre pays du joug français, nous devrions demander pardon aux dirigeants français. Tout autre attitude, ajoutent-ils, relèverait de l’irrationnel ou de l’émotionnel. Mon intention, en proposant ces lignes, n’est pas de revenir sur la formule senghorienne (“la raison est hellène comme l’émotion est nègre”) qui, à mon avis, est plus nuancée qu’il n’y paraît. Le poète sénégalais a démenti en effet avoir soutenu que le Nègre est incapable de raisonner; le fond de sa pensée, selon ses explications, c’est que la raison nègre n’est “ni discursive ni analytique ni antagoniste comme celle du Blanc mais synthétique, intuitive, sympathique” (cf. la revue Diogène, 1956). Cette nuance contredit-elle pour autant le fait que l’enfant de Joal était sincèrement et viscéralement fasciné par la France, lui était soumis et l’aimait si fortement qu’il décida d’y passer ses derniers jours? Non et, pour s’en convaincre, il suffit de lire, entre autres auteurs, Marcien Towa (“Léopold Sédar Senghor: Négritude ou Servitude?”, Yaoundé, Clé, 1971) et Stanislas Adotevi (“Négritude et négrologues”, Paris, Union générale, 1972); il suffit aussi de se rappeler que “le rôle historique de M. Senghor est, quoiqu’il s’en défende, de justifier la traite des Nègres, la colonisation et la coopération, que sa besogne consiste à bercer les « damnés de la terre » avec un galimatias justificatif d’une politique traîtresse, à préparer les Nègres à la servitude, bref à leur proposer une africanité de la misère, de la faiblesse et de l’impuissance” (cf. Mukendi Nkonko, “Un Nègre à l’académie française. Senghor démasqué… L’Afrique dupée” in Peuples noirs, peuples africains, No 35, 1984, pp. 24-40). Il suffit surtout se tourner vers son ami et compagnon Mamadou Dia qui nous apprend que Senghor se sentait français avant tout autre chose et que, si les deux hommes se séparèrent en 1962, c’est en partie parce que Dia refusait que son pays soit la chasse gardée de la France (cf. http://senego.com/video-temoignages-emouvants-de-mamadou-dia-sur-leopold-sedar-senghor-regardez_339858.html). Ce débat sur les relations entre Senghor et Dia n’est certainement pas sans intérêt mais je préfère le laisser aux Sénégalais.

 

Pour ma part, je voudrais m’intéresser au fameux pardon dont les tenants s’imaginent qu’il devrait sortir Laurent Gbagbo de prison. Et je voudrais le faire en posant quelques questions: N’est-il pas indécent et immoral que la victime demande pardon au bourreau? En 1999, ce n’est pas le Rwanda mais le secretaire general de l’ONU, Kofi Annan, qui présenta des excuses au Rwanda pour y avoir laissé se perpétrer en 1994 un génocide qui fit au moins un million et demi de morts. En 1982, ce ne sont pas les Roms mais Helmut Schmidt, le chancelier allemand de l’époque, qui assimila à une faute gravissime le fait que les Nazis aient persécuté, confiné dans des ghettos, déporté ou tué les Roms après les avoir jugés « racialement inférieurs » et on pourrrait trouver facilement d’autres exemples de ce genre. Or certains voudraient que les Ivoiriens se couvrent de cendre, déchirent leurs vêtements et demandent pardon à la “sainte” France. Mais de quoi devraient-ils demander pardon? Quels crimes ont-ils commis vis-à-vis de la France? Est-ce un crime de vouloir prendre son destin en main, de ne plus donner systématiquement à la France ses marchés quand d’autres pays ont mieux à vous proposer, de refuser que les soldats ivoiriens défilent sur les Champs-Élysées, de demander la fermeture du 43e BIMA, etc? Défendre son pays et les personnes qui y habitent quand ils sont attaqués par une horde de hors-la-loi soutenus par la France est-il un péché? À moins que mes connaissances bibliques et théologiques ne soient erronées, j’ai toujours pensé que c’est le bourreau qui devait demander pardon à la victime après avoir reconnu et regretté sa faute. D’où vient alors l’idée que les Ivoiriens devraient implorer le pardon de la France? Au nom de quoi, des gens massacrés deux fois (en novembre 2004 et en avril 2011) pour s’être opposés à la recolonisation de leur pays devraient-ils demander pardon? Dans les douloureux événements que notre pays a connus entre 2002 et 2011, j’adhère à l’idée que le bourreau est la France et la victime, la Côte d’Ivoire et que c’est aux Français de battre leur coulpe car leurs gouvernants ont posé des actes indignes d’un pays qui se targue d’être la patrie des droits de l’homme et de la démocratie (si celle-ci veut dire “le gouvernement du peuple par et pour le peuple”, peut-on la revendiquer à cor et à cri et s’immiscer de façon violente et meurtrière dans un conflit qui se déroule à 6 000 km de Paris?). Il est incontestable que Mandela discuta avec les Blancs, qu’il fit des compromis qui n’ont rien à voir avec la compromission mais n’oublions jamais que cet homme fut intransigeant sur certains principes, qu’il se garda de dévier des idéaux de justice, d’égalité et de liberté, qu’il n’était pas pressé de sacrifier ses valeurs sur l’autel de je ne sais quels intérêts mesquins et sordides et que, une fois élu président, il tint tête aux dirigeants occidentaux qui ne voulaient pas qu’il rende visite à Mouammar Kadhafi.

J’ai le sentiment que les apôtres du pardon sont pressés de revenir au pouvoir afin de retrouver les avantages matériels qu’ils avaient. Un vrai combattant n’est pas pressé de sortir de l’indigence et de la précarité dans lesquelles il se retrouve momentanément car il sait que la vérité et la justice qu’il défend finiront par triompher. Les vrais patriotes ne luttent pas pour eux-mêmes, pour occuper tel ou tel poste juteux. Ils se battent avant tout pour la souveraineté du pays, pour que les richesses du pays profitent à tous, pour que tout le monde puisse bien se soigner sur place.

Les souverainistes veulent servir les Ivoiriens et non diriger la Côte d’Ivoire pour la France qui, en retour, leur permettra d’avoir appartements et comptes bancaires à Paris. Ils estiment que, au moment où l’environnement international nous est favorable pour engager le combat de la souveraineté, nous devrions nous montrer fermes et déterminés au lieu de nous mettre à genoux devant des criminels et des voyous qui, les uns après les autres, sont en train de quitter piteusement la scène politique.

Jean-Claude DJEREKE

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15 février 2017 3 15 /02 /février /2017 15:56
 


 

Cetains compatriotes pensent que Laurent Gbagbo aurait dû se montrer démocrate jusqu’au bout (et pas seulement quand cela l’arrange), c’est-à-dire suivre la majorité des Ivoiriens opposés à une modification de l’article 35 de notre Loi fondamentale (cet article exclut de l’élection présidentielle toute personne ayant un parent non-ivoirien et s’étant prévalue d’une autre nationalité) plutôt que de s’appuyer sur l’article 48 de la même Constitution pour autoriser Ouattara à briguer la présidence de la République. Ils considèrent cette autorisation comme une grave erreur. Pourquoi? Parce que, d’après eux, c’est la seule chose qu’attendaient Ouattara et ses soutiens occidentaux pour faire ce qu’ils firent par la suite: refuser le désarmement des rebelles pourtant inscrit dans l’accord de Ouagadougou, fraudes et bourrage des urnes dans le Nord, proclamation des résultats provisoires par Youssouf Bakayoko dans le QG de Ouattara, bombardement des camps militaires et de la résidence du chef de l’État par les forces franco-onusiennes, etc. Sur ce point, je suis pleinement d’accord avec Mamadou Koulibaly, Affi N’Guessan et tant d’autres, tout comme je partage l’avis de ceux qui estiment que, avant que les positions ne se radicalisent de part et d’autre, et même si Affi avait dit et fait des choses détestables et condamnables, le chef aurait dû le recevoir et l’entendre aussi. À un ami qui trouvait normal que Laurent Gbagbo n’ait rencontré qu’un camp, je dus simplement poser la question suivante: si tu es en palabre avec ton frère et que seule sa version des faits est sollicitée et validée par ton père, ce dernier ne te semblera-t-il pas partial et injuste? Sur-le-champ, je n’obtins pas de réponse à ma question. C’est longtemps plus tard que l’ami admit que la sagesse et la justice commandaient que le chef écoutât les deux parties avant de leur dire ce qu’ensemble elles devraient faire ou non pour sauver la Côte d’Ivoire.

Laurent Gbagbo n’a jamais nié avoir commis des erreurs. ni prétendu que tout allait bien dans le pays quand il en tenait les rênes. Plusieurs fois, il a fait montre d’humilité, s’est abaissé, pour que la Côte d’Ivoire puisse se relever. Mais être humble ne signifie pas se laisser piétiner ou brader des principes auxquels on a cru, toute sa vie. Et l’un des principes auxquels Gbagbo tient comme à la prunelle de ses yeux, c’est que courber l’échine devant l’ennemi sous le fallacieux prétexte qu’il est trop fort est à la fois inutile et indigne. Et c’est sur ce point que je suis en profond désaccord avec certains de nos frères qui n’arrêtent pas de clamer que, si nous voulons libérer notre pays du joug français, nous devrions demander pardon aux dirigeants français. Tout autre attitude, ajoutent-ils, relèverait de l’irrationnel ou de l’émotionnel. Mon intention, en proposant ces lignes, n’est pas de revenir sur la formule senghorienne (“la raison est hellène comme l’émotion est nègre”) qui, à mon avis, est plus nuancée qu’il n’y paraît. Le poète sénégalais a démenti en effet avoir soutenu que le Nègre est incapable de raisonner; le fond de sa pensée, selon ses explications, c’est que la raison nègre n’est “ni discursive ni analytique ni antagoniste comme celle du Blanc mais synthétique, intuitive, sympathique” (cf. la revue Diogène, 1956). Cette nuance contredit-elle pour autant le fait que l’enfant de Joal était sincèrement et viscéralement fasciné par la France, lui était soumis et l’aimait si fortement qu’il décida d’y passer ses derniers jours? Non et, pour s’en convaincre, il suffit de lire, entre autres auteurs, Marcien Towa (“Léopold Sédar Senghor: Négritude ou Servitude?”, Yaoundé, Clé, 1971) et Stanislas Adotevi (“Négritude et négrologues”, Paris, Union générale, 1972); il suffit aussi de se rappeler que “le rôle historique de M. Senghor est, quoiqu’il s’en défende, de justifier la traite des Nègres, la colonisation et la coopération, que sa besogne consiste à bercer les « damnés de la terre » avec un galimatias justificatif d’une politique traîtresse, à préparer les Nègres à la servitude, bref à leur proposer une africanité de la misère, de la faiblesse et de l’impuissance” (cf. Mukendi Nkonko, “Un Nègre à l’académie française. Senghor démasqué… L’Afrique dupée” in Peuples noirs, peuples africains, No 35, 1984, pp. 24-40). Il suffit surtout se tourner vers son ami et compagnon Mamadou Dia qui nous apprend que Senghor se sentait français avant tout autre chose et que, si les deux hommes se séparèrent en 1962, c’est en partie parce que Dia refusait que son pays soit la chasse gardée de la France (cf. http://senego.com/video-temoignages-emouvants-de-mamadou-dia-sur-leopold-sedar-senghor-regardez_339858.html). Ce débat sur les relations entre Senghor et Dia n’est certainement pas sans intérêt mais je préfère le laisser aux Sénégalais.

 

Pour ma part, je voudrais m’intéresser au fameux pardon dont les tenants s’imaginent qu’il devrait sortir Laurent Gbagbo de prison. Et je voudrais le faire en posant quelques questions: N’est-il pas indécent et immoral que la victime demande pardon au bourreau? En 1999, ce n’est pas le Rwanda mais le secretaire general de l’ONU, Kofi Annan, qui présenta des excuses au Rwanda pour y avoir laissé se perpétrer en 1994 un génocide qui fit au moins un million et demi de morts. En 1982, ce ne sont pas les Roms mais Helmut Schmidt, le chancelier allemand de l’époque, qui assimila à une faute gravissime le fait que les Nazis aient persécuté, confiné dans des ghettos, déporté ou tué les Roms après les avoir jugés « racialement inférieurs » et on pourrrait trouver facilement d’autres exemples de ce genre. Or certains voudraient que les Ivoiriens se couvrent de cendre, déchirent leurs vêtements et demandent pardon à la “sainte” France. Mais de quoi devraient-ils demander pardon? Quels crimes ont-ils commis vis-à-vis de la France? Est-ce un crime de vouloir prendre son destin en main, de ne plus donner systématiquement à la France ses marchés quand d’autres pays ont mieux à vous proposer, de refuser que les soldats ivoiriens défilent sur les Champs-Élysées, de demander la fermeture du 43e BIMA, etc? Défendre son pays et les personnes qui y habitent quand ils sont attaqués par une horde de hors-la-loi soutenus par la France est-il un péché? À moins que mes connaissances bibliques et théologiques ne soient erronées, j’ai toujours pensé que c’est le bourreau qui devait demander pardon à la victime après avoir reconnu et regretté sa faute. D’où vient alors l’idée que les Ivoiriens devraient implorer le pardon de la France? Au nom de quoi, des gens massacrés deux fois (en novembre 2004 et en avril 2011) pour s’être opposés à la recolonisation de leur pays devraient-ils demander pardon? Dans les douloureux événements que notre pays a connus entre 2002 et 2011, j’adhère à l’idée que le bourreau est la France et la victime, la Côte d’Ivoire et que c’est aux Français de battre leur coulpe car leurs gouvernants ont posé des actes indignes d’un pays qui se targue d’être la patrie des droits de l’homme et de la démocratie (si celle-ci veut dire “le gouvernement du peuple par et pour le peuple”, peut-on la revendiquer à cor et à cri et s’immiscer de façon violente et meurtrière dans un conflit qui se déroule à 6 000 km de Paris?). Il est incontestable que Mandela discuta avec les Blancs, qu’il fit des compromis qui n’ont rien à voir avec la compromission mais n’oublions jamais que cet homme fut intransigeant sur certains principes, qu’il se garda de dévier des idéaux de justice, d’égalité et de liberté, qu’il n’était pas pressé de sacrifier ses valeurs sur l’autel de je ne sais quels intérêts mesquins et sordides et que, une fois élu président, il tint tête aux dirigeants occidentaux qui ne voulaient pas qu’il rende visite à Mouammar Kadhafi.

J’ai le sentiment que les apôtres du pardon sont pressés de revenir au pouvoir afin de retrouver les avantages matériels qu’ils avaient. Un vrai combattant n’est pas pressé de sortir de l’indigence et de la précarité dans lesquelles il se retrouve momentanément car il sait que la vérité et la justice qu’il défend finiront par triompher. Les vrais patriotes ne luttent pas pour eux-mêmes, pour occuper tel ou tel poste juteux. Ils se battent avant tout pour la souveraineté du pays, pour que les richesses du pays profitent à tous, pour que tout le monde puisse bien se soigner sur place.

Les souverainistes veulent servir les Ivoiriens et non diriger la Côte d’Ivoire pour la France qui, en retour, leur permettra d’avoir appartements et comptes bancaires à Paris. Ils estiment que, au moment où l’environnement international nous est favorable pour engager le combat de la souveraineté, nous devrions nous montrer fermes et déterminés au lieu de nous mettre à genoux devant des criminels et des voyous qui, les uns après les autres, sont en train de quitter piteusement la scène politique.

Jean-Claude DJEREKE

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31 octobre 2016 1 31 /10 /octobre /2016 19:17

La Commission électorale indépendante (CEI), a entamé ce lundi 31 octobre, la proclamation des résultats provisoires du scrutin référendaire sur le projet de constitution organisé ce dimanche.

Inza Kibafory, chef du service communication de la Commission électorale indépendante a livré les premiers résultats provenant de 6 régions en Côte d’Ivoire et 9 pays pour les ivoiriens de la diaspora en direct sur les antennes de la Radio Télévisons Ivoirienne (RTI).

Ces premiers résultats provisoires proviennent de la région du Hambol, du Bounkani, de la Bagoué, de la Mé, du Iffou, de l’Agneby-Tiassa. Pour l’étranger les résultats arrivent essentiellement du Canada, de la Belgique, de l’Italie, de la Grande Bretagne du Burkina Faso, de l’Afrique du Sud,du Gabon , du Mali et du Sénégal.

Pour les ivoiriens de l’étranger, le taux de participation le plus élevé est celui de l’Afrique du Sud qui recueille 62, 54% tandis que le taux le plus bas est de 4,62 % enregistré au Canada. L’ Afrique du Sud bat encore le record des suffrages exprimés pour le "Oui" avec 96,09% .

En Côte d’Ivoire, la région de la Bagoué est en tête avec un taux de participation de 64,82%, quand Daoukro, M’bahiakro et Prikro récolte pour le Iffou un taux de 38, 65 %. En ce qui concerne les suffrages exprimés pour le "Oui" sur le territoire national, la région du Hambol est en pole position avec 99,30% pour le "Oui" et 0, 70% pour le "Non". 




Le président du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N’Guessan, a estimé dimanche à Abidjan le taux de participation au référendum constitutionnel "entre 6% et 7%" dans tout le pays. Le chef du service communication de la Commission électorale indépendante a pour sa part, prévenu que la suite des résultats sera livrées au fur et mesure, durant cette soirée électorale. 


Didier Assoumou

 
 

 

 

 

 

On est en droit de douter de la transparence et de l'honnêteté du scrutin quand on voit ici sur cette photo des urnes avec des bulletins oui qui n'ont même pas été glissés dans les enveloppes prévues à cet effet....d'ici là a penser qu'il peut y avoir eu bourrages d'urnes en faveur du OUI il n'y a qu'un pas qui peut aisément être franchi. 

L'employé qui tient l'urne vient il la remettre en place après bourrage de scrutins favorables au OUI comme le laisse penser l'urne quasiment vide devant lui ? Ou bien vient il simplement en prendre une pour le dépouillement ?

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20 octobre 2016 4 20 /10 /octobre /2016 22:27

Voici les vidéos promises :

Liens de toutes les vidéos de l'audience du 20 Octobre 2016:
 
Liens de toutes les vidéos de l'audience du 21 Octobre 2016:
1ère Partie: https://youtu.be/Et5gGU8kUEk
2ème Partie:https://youtu.be/ydK66vYIz_U
3ème Partie: https://youtu.be/IxjRBIEMM7M
4ème Partie:https://youtu.be/XLVbqPoRRs4
 
 

Tous les liens de VIDÉOS de l'audience du 24 Octobre 2016.

1ère Partie: https://youtu.be/aM-IjUs4Ses
2ème Partie: https://youtu.be/7xyM40B-Rao
3ème Partie: https://youtu.be/6xiMY5hvxRM
4ème Partie: https://youtu.be/8ofETzDFU7o

 

Tous les liens de VIDÉOS de l'audience du 27 Octobre 2016.

1ère Partie: https://youtu.be/iogTlwNo3GA
2ème Partie: https://youtu.be/x_cqYuF1Efs
3ème Partie: https://youtu.be/HDibi5vrO5w
4ème Partie: https://youtu.be/dsmtBGt8J38

 

Tous les liens de VIDÉOS de l'audience du 31 Octobre 2016.

1ère Partie: https://youtu.be/_C5Ub9fn1Ug
2ème Partie: https://youtu.be/xtic7JSV7UQ
3ème Partie:https://youtu.be/w58NSAa99J4
4ème Partie: https://youtu.be/DW3eNBL4w9w

 

Le lien de VIDÉO de l'audience du 01 Novembre 2016.

1ère Partie: https://youtu.be/jyNECrztlgg

 

Le lien de VIDÉO de l'audience du 02 Novembre 2016.

1ère Partie: https://youtu.be/JwQgZLA6foM
2ème Partie:https://youtu.be/-cN1JMsArhM
3ème Partie: https://youtu.be/jlYfEG0YL5U
4ème Partie: https://youtu.be/N0tQX1JEihg

 

Le lien de VIDÉO de l'audience du 03 Novembre 2016.

1ère Partie: https://youtu.be/_VisyQFwpw4
2ème Partie: https://youtu.be/f0xJYrHlAIE
3ème Partie: https://youtu.be/C1RHjG6MOh8
4ème Partie: https://youtu.be/H1HwDEDjA1w

 
 
 
 
 
 
 
 
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19 octobre 2016 3 19 /10 /octobre /2016 16:18

Vous trouverez  ci dessous les vidéos des 17,18 et 19 octobre que j'ai eue grâce a la gentillesse et l'amabilité de RtiBengue :

Liens de toutes les vidéos de l'audience du 17 Octobre 2016:
1ère et seule Partie: https://youtu.be/oxR57gQOwyQ
 
Liens de toutes les vidéos de l'audience du 18 Octobre 2016:
 
Liens de toutes les vidéos de l'audience du 19 Octobre 2016:

 

 

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