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4 août 2013 7 04 /08 /août /2013 19:36

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Lors d’un incendie qui a ravagé l’immeuble où se trouve son domicile durant la nuit du vendredi 2 au samedi 3 Aout 2013, la patriote Christine Zékou a perdu tout ce qu’elle possédait et qui se trouvait dans son domicile.

(…) Chers patriotes, j’ai le regret de vous informer que le domicile de notre sœur, amie et camarade de lutte Christine Zékou, vient d’être entièrement ravagé par un incendie. Faisons tous parler nos cœurs, pour notre maman Christine Zékou, femme brave, très engagée dans la lutte qui vient de tout perdre au cours d’une nuit dévastatrice. Rien ne pourra remplacer toute cette vie bien remplie et ses documents si précieux.

Toutefois un soutien de tout ordre serait le bienvenu.

Sans intermédiaire, il serait sage de prendre contact directement avec elle.

Contacts 0652281225 – 0651155284.

Merci (…)

Cordialement, Patty Patricia

Merci de lui apporter votre soutien.

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3 août 2013 6 03 /08 /août /2013 12:33

liberia

Kouassiblékro est un village de la commune de Bouaké, situé à une dizaine de kilomètres du centre ville sur l’axe menant à Botro. Ce village, qui est le chef lieu du canton Gossan connait une vive tension depuis le dimanche 28 juillet 2013.

Pour cause: ce village est sous la menace d’une imminente attaque. Des jeunes venus des quartiers d’Oliénou et de Sokoura les accusent d’avoir fait disparaitre trois des leurs. En fait, voilà quelques jours qu’ils n’ont pas de nouvelles de leurs camarades qui se seraient orientés dans les environs du village.

Aussi, dans leurs recherches, ils auraient découvert trois nouvelles tombes dans un cimetière proche du village qu’ils estiment être celles de leurs proches assassinés et enterrés. Ils demandent à exhumer les corps pour vérification. Face au refus du chef canton, ils menacent de se venger et y ont décrété un état d’urgence. La police et la gendarmerie informées, se sont déportées sur le village pour le sécuriser. Malgré leurs présences, les abords du village restent sous occupation et empêchent les paysans de se rendent sereinement dans leurs champs.

Exacerbés , les jeunes ont décidé d’affronter ses hôtes qui ne sont pas les bienvenus chez eux. Ils s’organiseraient à toutes éventualités. Les calibres 12, fusils qu’utilisent régulièrement les villageois pour la chasse seraient ressortis pour faire face à l’ennemi qui détiendrait des kalachnikovs et des pistolets automatiques. Par ailleurs, un témoin dans l’anonymat, souhaite une enquête approfondie.

Parce que dit-il soupçonner ces inconnus, d’être des complices de coupeurs de routes qui impètrent la localité et ses environs. Ces coupeurs de routes qui d’ailleurs ont endeuillé le village au cours d’un de leurs réguliers affrontements entre eux. Un paysan a succombé à une de leurs balles perdues. Aussi, sept femmes ont-telles été victimes de viol sur les chemins qui mènent aux champs. Et ces événements ont maintes fois été relayés aux autorités compétentes. En outres, le témoin affirme que c’est régulièrement que les villageois constatent des mouvements suspects sur les voies de leurs champs.

Et de s’interroger pourquoi c’est dans cette zone située à une dizaine de kilomètres de leurs habitations que ces inconnus viennent cherches leurs portés disparus. Pour les villageois, même si cette piste doit être explorée, ils ne se reconnaissent pas dans un quelconque assassinat d’individus. D’ailleurs, affirment-t-ils que les tombes découvertes appartiennent au cimetière d’un autre village voisin. Et ils se réservent le droit de se défendre, si ces inconnus tiennent troubler leur quiétude.

Vivement que les autorités compétentes agissent très vite pour éviter un autre bain de sang à la Côte d’ivoire.

D.V.K

Le Jour Plus

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3 août 2013 6 03 /08 /août /2013 12:12

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Depuis ce jeudi 1er aout 2013 l’école des forces armées de Zambakro retiendra pour l’histoire que sa 44ème promotion porte le nom Guillaume Kigbafori Soro. Telle a été la volonté de ces 123 sous lieutenants et médecins-lieutenants dont 11 filles, formés pendant deux ans dans cette illustre école militaire sous régionale créée en 1963.

« Ces officiers qui ont compris la délicatesse de leur devoir ont choisi pour nom de promotion celui d’un illustre africain : « Guillaume Kigbafori Soro », a précisé leur commandant de promotion.

Le Président de l’Assemblée lui-même est venu personnellement assister au baptême de la promotion qui porte son nom. Guillaume Kigbafori Soro n’a certes prononcé aucun discours. En revanche, il a assisté religieusement aux parades et au défilé qui, selon le ministre délégué à la défense ‘’fixe le lien insoluble entre l’officier, l’armée et la nation ».

Maiga Idrissa

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3 août 2013 6 03 /08 /août /2013 12:07

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Abidjan, 02 août (AIP) – Le ministre du Tourisme, Roger Kacou, a annoncé, vendredi, son ambition de faire contribuer le secteur du tourisme à au moins 2% du produit intérieur brut (PIB) à l’horizon 2015 et à 5% à l’horizon 2020.

« Notre ambition est de réaliser un taux de 500.000 touristes au moins pour la fin 2015. L’espoir est permis, au vu des chiffres dont nous disposons actuellement », a rassuré le ministre Roger Kacou à l’occasion de la signature d’un partenariat entre la Fédération nationale des industries touristiques de Côte d’Ivoire (FENITOURCI) et la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire (CCI-CI) sur un programme de renforcement de capacités.

Le ministre a cité, pour preuve, la construction en cours de nombreux hôtels à Abidjan, indiquant aussi que des investisseurs de marque peaufinent leurs dossiers en vue de leur réalisation.

« Au ministère du Tourisme, nous cultivons optimisme et patience », a-t-il révélé, signifiant que l’inspection générale du Tourisme sera sur le terrain, dans le cadre du reclassement des industries hôtelières.

Le secteur du tourisme dans le monde a généré, en 2012, plus de 1.000 milliards de dollars de recettes, selon l’organisation mondiale du Tourisme, plaçant ce secteur comme la première activité de service et le premier employeur.

« L’hôtellerie, la restauration, les agences de voyage, la location de véhicule de tourisme, les guides touristiques, les maquis pourraient améliorer leur contribution à la bonne réputation de notre tourisme si ces métiers sont pratiqués avec passion, professionnalisme et talent » a soutenu Roger Kacou devant les opérateurs du secteur.

« Notre pays compte d’indéniables atouts touristiques », a souligné M. Kacou qui a indiqué qu’« en exploitant rationnellement les atouts avec tact et intelligence, nous serons à même d’être un vecteur du développement économique et social de notre pays ». Ce, dit-il, « dans la mesure où nous pourrions créer des richesses, des milliers d’emplois et lutter contre la pauvreté en milieu rural ».

(Aip)

kkf/kkp/cmas

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3 août 2013 6 03 /08 /août /2013 12:04

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Les errements de l’ex-petit juge de Dimbokro

Le retour perdant du juge politique

Dans un entretien fleuve avec les confrères du quotidien «Le Patriote», il a tenté de faire croire qu’il n’y a pas de prisonniers politiques sous le régime d’Alassane Dramane Ouattara.

Il a déclaré ce qui suit : «Je sais qu’il y a des prisonniers. Ces gens certes sont des personnalités politiques, mais je ne crois pas qu’ils soient des prisonniers politiques. Au sens où ces personnes seraient emprisonnées par rapport à leur opinion politique, à leur idéologie». Naturellement, cette supputation politicienne est une énorme méprise. Car, en se référant à la définition du concept de «prisonnier politique», mais aussi au regard de la réalité politique, on ne peut pas accorder de crédit aux dires de l’ancien magistrat.

Parlant de la définition de «prisonnier politique», il est bon de savoir qu’elle a été élaborée en 2001 au sein du Conseil de l’Europe par les experts indépendants du Secrétaire général. Les experts en question «avaient pour mission d’évaluer les cas de prisonniers politiques présumés en Arménie et en Azerbaïdjan, dans le cadre de l’adhésion de ces deux Etats à l’Organisation».

Et les critères choisis prennent en compte la condition des personnes dont «la détention a été imposée en violation de l’une des garanties fondamentales… en particulier la liberté de pensée, de conscience et de religion, la liberté d’expression et d’information et la liberté de réunion et d’association»ou «si la détention a été imposée pour des raisons purement politiques sans rapport avec une infraction quelle qu’elle soit» ou encore «si, pour des raisons politiques, la personne est détenue dans des conditions créant une discrimination par rapport à d’autres personnes» ou même «si la détention est l’aboutissement d’une procédure qui était manifestement entachée d’irrégularités et que cela semble être lié aux motivations politiques des autorités.»

Comme on le voit, le concept de prisonnier politique est en rapport avec la violation des «garanties fondamentales» avec «des raisons politiques sans rapport avec une infraction quelle qu’elle soit… », avec, en outre, «une discrimination par rapport à d’autres personnes»et avec «une procédure manifestement entachée d’irrégularités». A partir de ces définitions, il est facile de dire que la Côte d’Ivoire vit sous un régime de dictature avec plus de 700 détenus politiques. 

Extraits de Note Voie de ce vendredi 02.08.2013

Le titre est du Journal de Connection [ljdc.info]

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3 août 2013 6 03 /08 /août /2013 11:59

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Source: Le Patriote

C’est à tomber à la renverse. Des hommes et femmes présentés comme ayant été victimes d’une attaque armée et qui disent avoir pris connaissance de la terrible nouvelle à travers …la presse!

C’est en tout cas à ce tour de magie journalistique que Notre Voie, le quotidien pro-Gbagbo, s’est prêté hier en barrant à sa Une ce titre pour le moins ronflant et volontairement incendiaire : « Après le rapport accablant sur le régime Ouattara, des hommes armés attaquent le siège le siège d’Amnesty ».

Hier, A la question de savoir ce qu’il en était de l’assaut à l’arsenal de guerre que la représentation nationale de l’organisation internationale de défense des droits humains aurait essuyé, selon le journal bleu, voici ce que nous a répondu, brièvement, M. Hervey Delmas, premier responsable de l’ONG : « Mais monsieur le journaliste, nous avons appris la nouvelle comme vous dans la presse, à la Une du journal dont vous parlez ». Renseignements pris auprès d’autres sources, notamment des riverains du supermarché Soccoce des Deux-Plateaux, que jouxte presque l’ONG, nul n’a eu connaissance d’une telle attaque, qui, au demeurant si elle avait été avéré, aurait sans aucun doute perturbé la quiétude des habitants. Conclusion : c’est donc un énorme canular que le canard frontiste a une fois de plus servi aux Ivoiriens comme « petit déjeuner » du matin.

Du reste, ces derniers – notamment les lecteurs de Notre Voie, d’ordinaire très perméables aux habituelles facéties de leur chère « Bible » – ont dû cette fois se rendre compte de la supercherie en parcourant tout simplement l’article qui se rapportait à ce « scoop ». Lequel n’était rien moins qu’un vieux rapport de l’ONG, datant de février, c’est-à-dire six bon mois en arrière.

Et voici ce que disait ce rapport et qui a valu ce « titre de guerre » de Notre Vois. «Le 27 février 2013, le lendemain de la conférence de presse organisée par Amnesty international à Abidjan pour le lancement du rapport « la loi des vainqueurs », un groupe de quatre hommes armés s’est présenté devant le siège de Amnesty international Côte d’Ivoire aux environs de 18 heures. Ce jours-là, le bureau avait fermé depuis 15 heures, il n’y avait donc personne sur place. Un témoin qui a vu ces hommes a déclaré que ces hommes avaient violemment frappé à la porte d’entrée du bureau. Ils ne sont partis qu’après un certain temps. » Et le rapport de souligner plus loin : « les hommes armés ne sont pas revenus ». Voilà tout.

D’illustres « témoins » anonymes – qui auraient bien pu être de petits écervelés, endoctrinés par les théories politiciennes et vindicatives du FPI – racontent qu’ils ont vu des « hommes armés » frappant à la porte de l’ONG, cela à suffi, six mois plus tard, à Notre Voie pour barrer sa manchette d’un titre qui laisse croire que c’est la veille même que l’événement s’est produit. Nos confrères poussent la malhonnêteté aussi loin qu’ils le peuvent en faisant croire que c’est suite au dernier rapport de cette ONG, qui, lui, date seulement de quelques jours avant (et dont nous avons du reste noté la parfaite caducité et le caractère mensonger), que cette prétendue attaque aurait eu lieu.

Flagrant délit donc de manipulation de l’opinion par les porte-voix du FPI, qui montre une fois de plus que ce parti ne prospère que dans la belligérance, dont il n’a jamais cessé de caresser le secret espoir d’une résurgence. Pour Miaka et ses hommes, qui se sont eux-mêmes mis hors-jeu du débat politique, il faut forcément que la marche que la marche de la Côte d’Ivoire vers l’inexorable émergence qui semble se dessiner soi freinée par ce type de perturbations. Ils veulent coute que coute discréditer le pouvoir de l’homme qui a bouté hors de la présidence de la République l’ex-dictateur des Lagunes.

Lacina Ouattara

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3 août 2013 6 03 /08 /août /2013 11:55

Des personnes envoyées par le roi de Moossou, Nanan Kanga Assoumou, ont manifesté au ministère de la Construction, du logement, de l’assainissement et de l’urbanisme, au Plateau, le jeudi 1er août 2013.

C’était pour protester contre le  chèque de plusieurs millions de francs Cfa  représentant la purge des droits coutumiers sur 81 ha, que le chef de ce département ministériel, Mamadou Sanogo a remis au chef du village de Modeste (route de Grand Bassam), Konney Ahoua Simon, il y a quelques jours.

Pour des partisans du chef du village de Modeste que nous avons joints, le vendredi 2 août 2013, si des gens viennent sur leurs parcelles pour s’opposer au projet de l’Etat, il y aura des affrontements sanglants.

Pour eux, c’est leur camp que l’Etat reconnaît. Il n’est donc pas question de s’opposer à celui que l’Etat a choisi. « La vérité est de notre côté », ont-ils laissé entendre, avant d’annoncer la tenue prochaine d’une conférence de presse. Il convient de souligner que le directeur de cabinet du ministre de la Construction, du logement, de l’assainissement et de l’urbanisme, Guily Benoît avait demandé aux envoyés du roi de Moossou de produire des papiers qui font d’eux des propriétaires terriens.

N’ayant pu produire les documents, ils ont replié. Il faut souligner qu’il y a trois mois, à Boncoin, dans le prolongement de Modeste, du côté d’Abidjan (Une dizaine de kilomètres d’Abdiajn), ledit roi, se prévalant d’être propriétaire des lieux, a fait déguerpir les habitants qui jusqu’à ce jour dorment à la belle étoile.

Si l’Etat ne prend pas à bras le corps la résolution des litiges, dans la zone, cela pourrait constituer un blocage pour la construction d’une partie des 60 mille logements, projet lancé par le Gouvernement.

Dominique FADEGNON

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3 août 2013 6 03 /08 /août /2013 11:52

Les principaux carrefours et boulevards du District d’Abidjan seront, dès le lundi 5 août 2013, débarrassés de la multitude de mendiants et marchands ambulants qui assaillent les automobilistes et autres usagers de la voie publique. Cela, en application de la mesure prise le 25 juillet dernier, par le ministère d'Etat, ministère de l'Intérieur et de la sécurité qui donnait un délai de 10 jours aux envahisseurs pour libérer les lieux.

A trois jours de l'expiration de ce délai, le préfet d'Abidjan a présidé, hier vendredi 2 août 2013, une réunion dans la salle de conférence de la Préfecture d'Abidjan-Plateau avec les maires d’Abidjan. Au terme de cette séance de travail qui a duré de 10 h 30 à 12 h, le préfet Sidiki Diakité a confié ceci à la presse : « Les maires s'inscrivent dans l'application de cette mesure qui permettra de mettre fin à la fuite fiscale dénoncée par les élus ».

Ce déguerpissement, a-t-il ajouté, répond également à des exigences sécuritaires, économiques et éthiques. Sidiki Diakité a dénoncé la mise en place de réseaux de mendiants aux abords des grands axes, l'exploitation d'enfants et d'handicapés, et l'insécurité qui règne en ces lieux, au moment où la Côte d'Ivoire accueille de plus en plus d'investisseurs. Une cellule de coordination logée au cabinet du ministre d'Etat, Hamed Bakayoko, et un comité de suivi présidé par le préfet d'Abidjan ont ainsi été mis sur pied.

Ce comité a tenu, hier, sa première réunion. Il comprend le préfet d'Abidjan, le préfet de police d'Abidjan, un conseiller technique du ministre de l'Intérieur, le Dg adjoint de la Décentralisation, le gouverneur du District d’Abidjan, les 13 maires du District d'Abidjan, ainsi que des représentants des ministères techniques (Affaires étrangères, Emploi et Solidarité, Justice, Famille, Tourisme, Commerce, Environnement et salubrité).

Paul Koffi

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3 août 2013 6 03 /08 /août /2013 11:50

De décembre 2012 à Août 2013, c’est la quatrième fois que le coût du litre de super à la pompe connait une variation. Cette fois-ci, après la baisse constatée depuis mai 2013, (-28FCFA) par rapport au mois d’avril où les pompes affichaient 782FCFA, les automobilistes roulant au super devront débourser 766FCFA pour le litre.

Soit une augmentation de 12FCFA par rapport au prix sur le marché ces trois derniers mois où le super était vendu à 754FCFA.

Pour le ministère du pétrole et de l’énergie que dirige Adama Toungara, cette décision répond au souci d’appliquer le « mécanisme d’ajustement automatique des prix à la pompe adopté en Conseil des Ministres le 07 novembre 2012 ». Pour les utilisateurs du gasoil, continueront eux, de s’approvisionner à la pompe au prix de 615FCFA. « Il convient de noter que l’Etat continue de subventionner le prix du gasoil qui est maintenu à 615 F CFA et cela depuis 2 ans », peut-on lire dans le communiqué du ministère du pétrole et de l’énergie.

Qui précise par ailleurs, que « l’application du mécanisme d’ajustement automatique des prix des produits pétroliers se traduira mensuellement par des ajustements soit à la baisse soit à la hausse des prix à la pompe ».

K. Hyacinthe

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3 août 2013 6 03 /08 /août /2013 11:42

Les enseignants de l’Université de Bouaké sont en grève illimitée depuis le lundi 29 juillet 2013. Ce mouvement de grève touche toutes les activités pédagogiques et académiques. Les enseignants disent avoir épuisé toutes les voies de négociations avec leur tutelle, le ministère de l’Enseignement supérieur pour satisfaire à leurs revendications.

Les enseignants brandissent maintenant la grève illimitée pour exprimer leur ras-le-bol. Depuis le 28 juin dernier, leur préavis de grève est sur le bureau de leur ministre, Cissé Ibrahim Bacongo. Pour le secrétaire général de la section Coordination nationale des enseignants du supérieur et des chercheurs (Cnec), Pr. Tro Dého Roger, ce mouvement de grève ne prendra fin qu’après satisfaction de tous les points de revendications.

Elles se résument à la mise à la disposition des enseignants, des bureaux, du matériel didactique et informatique , le rappel des primes de recherches des nouvelles recrues depuis 2011 , le paiement des heures complémentaires du 1er semestre 2012-2013 et le paiement des soutenances de 2011-2012 dite année de rattrapage ainsi que le reversement de 100 mille FCfa retenus sur la prime de recherche de juin 2013 des promus du Cames de 2012 , le paiement des primes de correction et de délibération de 2007-2008, 2008-2009, 2009-2010…

La section Cnec Université de Bouaké justifie son mot d’ordre de grève par un manque de volonté du régime Ouattara de trouver des solutions aux difficultés des enseignants.

Charles Bédé

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