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27 janvier 2011 4 27 /01 /janvier /2011 12:45

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Vous y trouverez encore davantage d'informations que sur le mien et surtout de nombreuses vidéos très intéressantes sur la Côte d'Ivoire et les soubresauts de la vie politique et économique de ce beau pays .

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26 janvier 2011 3 26 /01 /janvier /2011 20:25

BRAZZAVILLE- Le président congolais Denis Sassou Nguesso a reçu dans la nuit de mardi à mercredi à Brazzaville Guillaume Soro, Premier ministre d`un des deux présidents proclamés de Côte d`Ivoire, en prélude au prochain sommet de l`Union africaine (UA), selon des sources concordantes.

M. Soro, chef du gouvernement d`Alassane Ouattara, était arrivé mardi dans la capitale congolaise et n`y a pas passé la nuit, selon une source à la présidence et des informations de presse. Il a quitté le Congo pour une destination qui n`a pas été précisée.

D`après les mêmes sources, il a transmis à M. Sassou un message de M. Ouattara en prélude au sommet de l`UA prévu le week-end prochain à Addis Abeba et lui a également fait "le point de la situation post-électorale en Côte d`Ivoire".

M. Ouattara est reconnu comme président ivoirien par la quasi-totalité de la communauté internationale, qui demande à Laurent Gbagbo, l`autre président proclamé, de lui céder pacifiquement le pouvoir. Plusieurs médiations ont été menées, sans succès pour l`heure. L`Afrique de l`Ouest a brandi la menace d`une intervention militaire pour déloger M. Gbagbo.

"Nous pensons qu`une opération militaire qui n`est pas la guerre, une opération militaire commando ciblée sur la personne de Gbagbo, règlerait le problème en Côte d`Ivoire", a déclaré M. Soro à des journalistes à l`issue de son entretien, selon des propos rapportés mercredi par le quotidien pro-gouvernemental Les Dépêches de Brazzaville.

"Rien d`autre ne peut le convaincre de céder le pouvoir pacifiquement", a-t-il ajouté.

Le 6 janvier, lors de sa présentation de voeux au corps diplomatique, le président Sassou Nguesso s`était déclaré "préoccupé" par la crise en Côte d`Ivoire, estimant qu`il ne serait pas responsable, de la part de la classe politique de ce pays et de la communauté internationale, de le laisser devenir "une autre Somalie".

 

 

 

Commentaire :

 

Comment une opération militaire ne peut pas être la guerre ?? M. Soro les opérations militaires ont lieu surtout en cas d'exfiltration d'une personne en cas de conflit dans un pays. c'est ce qui s'est passé pour Bédié et il a la mémoire courte.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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26 janvier 2011 3 26 /01 /janvier /2011 20:12

Dépêche AFP :

 

ABIDJAN - Alors que l`Afrique avait d`abord soutenu presque unanimement Alassane Ouattara comme vainqueur de la présidentielle ivoirienne, le chef d`Etat sortant Laurent Gbagbo, qui n`entend pas céder, semble marquer des points avant un important sommet de l`Union africaine (UA).

A l`issue d`une visite surprise à Abidjan, la déclaration mardi soir du président en exercice du l`UA, le Malawite Binguwa Mutharika, a symbolisé les lézardes du front africain.

Sans mentionner M. Ouattara qu`il avait pourtant aussi rencontré, il a promis de présenter les "propositions" de son "frère et ami" Laurent Gbagbo, lors du sommet de l`UA à Addis Abeba les 30 et 31 janvier, pour résoudre la crise née de la présidentielle du 28 novembre.

Le virage est spectaculaire: début janvier, M. Mutharika avait appelé "Gbagbo à céder le pouvoir à Ouattara pour (...) éviter un bain de sang".

Rien à voir non plus avec le médiateur de l`UA, le Premier ministre kényan Raila Odinga, après l`échec de sa dernière mission le 19 janvier, qui parlait de "monsieur Laurent Gbagbo" et du "président élu Ouattara", dont l`élection a été avalisée par l`UA dès le 4 décembre, comme par la quasi-totalité de la communauté internationale. M. Odinga avait même suggéré l`emploi de la manière forte si Laurent Gbagbo s`entêtait.

Depuis, l`idée d`un recomptage des voix, proposée par Gbagbo et refusée par son rival, fait son chemin dans l`esprit de certains dirigeants africains, de plus en plus rétifs à l`option militaire brandie par l`Afrique de l`Ouest -surtout le Nigeria- pour déloger M. Gbagbo.

Le président sud-africain Jacob Zuma a ainsi souhaité "quelque chose d`autre que demander à l`un des deux chefs de partir" et Yoweri Museveni (Ouganda) a plaidé pour "une approche sérieuse concernant l`examen du processus" électoral.

Le chef d`Etat équato-guinéen Teodoro Obiang Nguema devrait proposer au sommet de l`UA, dont il pourrait prendre la présidence tournante, la création d`une "commission spéciale sur le règlement" de la crise, privilégiant "une solution pacifique" souhaitée aussi par l`Angola, important allié de M. Gbagbo.

Le président ivoirien sortant "a réussi à fédérer autour de lui les pays qui sont frustrés par l`hégémonie occidentale, par idéologie anticolonialiste, mais aussi certains pouvoirs autoritaires qui ne voient pas d`un bon oeil l`ordre donné à Gbagbo de partir, surtout à la lumière de ce qui se passe en Tunisie", analyse une source diplomatique africaine interrogée par l`AFP.

"Ceux qui étaient curieusement silencieux jusque-là et dont les langues se délient aujourd`hui ne sont pas les plus démocrates. Ils voient bien que ce qui se passe en Côte d`Ivoire les met en danger chez eux", assure Anne Ouloto,
porte-parole de M. Ouattara.

Hors des considérations de principe, un recomptage des voix soulève aussi de sérieuses questions pratiques, fait valoir une source diplomatique occidentale. "Où sont les bulletins, les urnes? Quelles ont été les conditions de stockage? Le recomptage n`est pas possible", tranche-t-elle, alors que le camp Gbagbo y voit le moyen de sortir de l`impasse.

Si, sur la scène diplomatique, l`étau semble se desserrer autour de M. Gbagbo, la partie reste cependant difficile pour lui sur le plan économique, M. Ouattara, ses alliés d`Afrique de l`Ouest et la communauté internationale tentant de l`asphyxier financièrement.

Lundi, Alassane Ouattara a ainsi ordonné un arrêt des exportations de cacao, dont la Côte d`Ivoire est le premier producteur mondial et selon le Financial Times de mardi, le groupe agroalimentaire américain Cargill, premier
négociant de cacao dans le monde, aurait d`ores et déjà "suspendu temporairement" ses achats ivoiriens.

Preuve que la menace est prise au sérieux, un ministre du camp Gbagbo a dénoncé mercredi une volonté d`"affamer" les Ivoiriens.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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26 janvier 2011 3 26 /01 /janvier /2011 19:31

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Comment l'ONU, la Communauté Européenne, La Force Licorne n'ont pas condamnés de tels actes de barbarie ? Ceci s'est passé en 2002 au moment ou le 1er ministre de M. Alassane Ouattara faisait encore partie des rebelles !!


Comment est il possible qu'un premier ministre en exercice soit responsable d'un tel massacre et soit maintenu en place par la Communauté Internationale. N'est ce pas encore lui qui dernièrement appelait a l'intervention armée en Côte d'Ivoire ??

 

 

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25 janvier 2011 2 25 /01 /janvier /2011 16:03

  Notre Voie (Organe du FPI)


«La problématique de la certification de l’élection présidentielle de Côte d’Ivoire». Ce thème fort à propos a été commenté, hier lundi 24 janvier 2011, aux II-Plateaux, par l’avocat français Marcel Ceccaldi dans le contexte des débats initiés par la Coordination des communicateurs citoyens bénévoles pour le rayonnement de la démocratie.

Pour le conférencier, il est clair que le représentant spécial des nations unies en Côte d’Ivoire, Young J. Choi, a outrepassé ses droits dans son rôle de certificateur de l’élection présidentielle du 28 novembre 2010. «La difficulté vient lorsque le responsable (Choi) des nations unies s’est immiscé dans la proclamation alors qu’il n’avait ni la compétence ni le droit de le faire», a-t-il avancé.

Une démarche, a-t-il poursuivi, qui a été faite en violation flagrante de toutes les normes et les lois en vigueur en la matière (charte de l’Onu, résolutions et accords politiques). Aujourd’hui, a-t-il révélé, «tous les textes (…) gênants pour Choi sont supprimés du site de l’Onu». Aussi, a affirmé Me Ceccaldi, le collectif d’avocats dont il fait partie se propose de porter plainte contre le secrétaire général de l’Onu, Ban Ki-moon, et son représentant, Choi, auprès de la Cour internationale de justice (Cij). «Nous allons saisir la Cour internationale de justice», a-t-il martelé. La saisine de cette juridiction se justifie, de l’avis de Marcel Ceccaldi, par le fait que Young J. Choi s’est donné le pouvoir d’un haut commissaire aux élections. Qui aurait pu se justifier si la Côte d’Ivoire n’avait pas d’institutions ou qu’elle était sous tutelle de l’Onu. Ou encore si l’organisation mondiale était chargée d’organiser les élections.

Comme on a pu le constater au Cambodge (1993), au Kosovo (2000), en Afghanistan (2010). «J’accuse M. Choi de forfaiture», a fulminé Ceccaldi. «La Côte d’Ivoire n’a pas renoncé à sa souveraineté ! (…) M. Choi doit respecter les organes qui garantissent sa souveraineté», a-t-il insisté.

Il a fait observer que le rôle du représentant de Ban Ki-moon en Côte d’Ivoire est celui «d’un accompagnateur» qui aurait dû s’en tenir à la validation des différentes étapes du processus électoral. Et non à celui qui consiste à proclamer les résultats de l’élection présidentielle à la place du Conseil constitutionnel ivoirien. Par cet acte, Choi, au dire de l’avocat, a porté atteinte à la souveraineté de la Côte d’Ivoire. «La souveraineté appartient au peuple. (…) Aucune structure des Nations unies ne peut porter atteinte à la souveraineté d’un Etat», a-t-il affirmé. Au demeurant, Me Ceccaldi s’est étonné que M. Choi n’ait pas pu aider au désarmement des rebelles (une des étapes à valider) conformément à l’accord politique de Ouaga. «Que font Ban Ki-moon et Choi entre la date de la signature de cet accord et celle des élections ?», s’est -il interrogé.

 

 

 

 ADOrecoit CHOI (6) (Large)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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25 janvier 2011 2 25 /01 /janvier /2011 15:40

Dépêche AFP :


LAGOS - Une délégation de la Communauté économique des Etats d`Afrique de l`ouest (Cédéao), organisation menaçant le président sortant ivoirien Laurent Gbagbo d`une intervention armée, va rencontrer cette semaine le président américain Barack Obama, a indiqué mardi un ministre nigérian.


Les émissaires de la Cédéao doivent aussi s`entretenir avec le secrétaire général de l`ONU Ban Ki-moon, a ajouté le ministre nigérian des Affaires étrangères Odein Ajumogobia, membre de la délégation, confirmant ainsi les annonces des medias locaux sur ces rencontres.


"C`est vrai", a-t-il brièvement indiqué, refusant de donner plus de détails au moment d`embarquer dans un vol pour les Etats-Unis. Selon les médias nigérians, le président sierra-léonais Ernest Koroma dirige la délégation qui comprend également le président de la Commission de la Cédéao James Victor Gbeho.


La délégation devrait rencontrer M. Obama mercredi et M. Ban jeudi. Lundi, M. Ajumogobia avait appelé le conseil de sécurité de l`ONU à autoriser une action militaire en Côte d`Ivoire, comme l`a fait la Cédéao, pour obliger Laurent Gbagbo à quitter le pouvoir.


Il avait indiqué que la Cédéao (15 pays africains) "demande un soutien international sans équivoque par une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies pour autoriser l`usage de la force".


Laurent Gbagbo refuse de céder le pouvoir depuis qu`il a été proclamé vainqueur de la présidentielle du 28 novembre par le Conseil constitutionnel alors que la Commission électorale a déclaré M. Ouattara élu.

 

 

Commentaires :

 

La Cedeao veut se réfugier derrière une décision du Conseil de Sécurité de l'ONU pour avoir le "droit " d'intervenir. Ils sont tellement peu sûrs de leur bon droit qu'ils en sont réduits a demander un blanc-seing a l'ONU et à OBAMA. Cela montre combien la CEDEAO est divisée sur le sujet et que le seul argument qui pourrait faire pencher la balance est l'intervention d'une énième résolution du Conseil de Sécurité de l'ONU. Quand on voit comment l'ONU a désarmé les rebelles suite a l'accord de Ouagadougou et des résolutions du Conseil de sécurité qui ont suivit on en reste rêveur....

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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25 janvier 2011 2 25 /01 /janvier /2011 15:22

Dépêche AFP :

 

KAMPALA - Le président ougandais, Yoweri Museveni, s`est insurgé contre la position adoptée par les Nations Unies à l`égard de la crise post-électorale en Côte d`Ivoire, l`institution internationale ayant reconnu Alassane Outtara vainqueur de l`élection présidentielle ivoirienne. 

M. Museveni a appelé à conduire une investigation indépendante sur l`élection présidentielle, qui s`est tenue le 28 novembre dernier en Côte d`Ivoire, et à la suite de laquelle la communauté internationale a reconnu M. Outtara président, a affirmé le secrétaire de presse du président ougandais, Tamale Mirundi.

"Le point de vue ougandais diffère de celui de l`ONU et de la communauté internationale sur la Côte d`Ivoire. Si les élections sont contestées, plutôt que de déclarer un candidat vainqueur, il est nécessaire de mener une enquête exhaustive pour savoir ce qui s`est mal passé", a affirmé M. Mirundi, reprenant les propos de M. Museveni.

M. Museveni souhaite que l`Union africaine (UA) établisse un comité ad hoc pour expliquer en quoi la conduite et les résultats du scrutin avaient généré une différence d`opinions, a révélé M. Mirundi.

M. Mirundi a tenu ces propos peu après M. Museveni eut rendu visite à son homologue sud-africain, Jacob Zuma, la semaine dernière.

Selon M. Mirundi, MM. Museveni et Zuma préféreraient une option alternative, du fait que "chaque pays est doté d`une Constitution et d`un cadre permettant de résoudre les problèmes domestiques".

La Côte d`Ivoire vit une crise post-électorale "aiguë" opposant Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara depuis le 28 novembre.

Les deux leaders se sont proclamés présidents et chacun a formé un gouvernement, plongeant le pays dans un bicéphalisme exécutif se traduisant par un chaos ponctué de violences.

Des médiations destinées à dénouer la crise se sont succédé, mais se sont avérées infructueuses, les deux partis campant sur leur position.

L`Union africaine débattra de cette crise à l`occasion d`un sommet prévu pour fin janvier à Addis-Abeba, la capitale éthiopienne.

 

Commentaire :

 

Où l'on voit que les présidents de l'union Africaine ne suivent pas aveuglément les recommandations de l'ONU et de la Communauté Internationale. Et curieusement ils s'alignent de plus en plus sur la première décision de Laurent Gbagbo, demander une commission indépendante qui vienne examiner le processus électorale et procède éventuellement au recomptage des voix . 2 mois ont été perdus en vain et de nombreuses vies humaines auraient pu être épargnées si on avait simplement procédé ainsi depuis le début !!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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24 janvier 2011 1 24 /01 /janvier /2011 20:47

VANNES - Le Vannes Olympique Club (VOC) fait le buzz sur internet depuis qu`un de ses joueurs amateur nommé Bassory Ouattara a assuré être le fils d`Alassane Ouattara, le président élu de la Côte d`Ivoire, suscitant un démenti officiel à Abidjan.

"Oui c`est mon père", a encore répété lundi à l`AFP ce joueur surnommé "Sory" qui, à 21 ans, joue depuis deux ans en amateur au sein de l`équipe réserve de division d`honneur du Vannes Olympique Club (Ligue 2).

"Je vis la situation difficilement car ma famille là-bas peut être attaquée à tout moment (...) j`ai fréquemment mon père au téléphone, il me dit qu`il est serein, que Gbagbo partira", disait-il samedi dans un entretien au quotidien Ouest-France.

Ces déclarations, relayées sur divers sites internet, radios et journaux, ont suscité un démenti officiel de la part de la présidence ivoirienne à Abidjan.

"L`information que vous avez donnée est fausse, le président de la République de Côte d`Ivoire, son excellence M. Alassane Ouattara n`a pas de fils du nom de Bassory Ouattara", affirme le communiqué publié lundi par Ouest
France.

Joint par l`AFP à Abidjan, le porte-parole du gouvernement Patrick Achi avait estimé que le jeune joueur est un "affabulateur" et que ce qu`il dit est "plein de contre-vérités".

"Sory" maintient: selon lui, Alassane Ouattara est bien son père biologique mais c`est son oncle Gaosso Ouattara qui l`a reconnu à sa naissance. Il a assuré à l`AFP que son père lui avait téléphoné lundi matin pour lui "passer un savon" à cause de ses déclarations publiques.

"Les choses s`enchaînent, mon père m`a dit de ne plus parler aux médias, pour ma sécurité on me demande de quitter Vannes mais je ne veux pas car j`y vis", a-t-il dit lundi à l`AFP.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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24 janvier 2011 1 24 /01 /janvier /2011 20:02

 

 

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24 janvier 2011 1 24 /01 /janvier /2011 18:36

Dépêche AFP :


JOHANNESBURG - L`ex président sud-africain Thabo Mbeki appelait dès décembre à ne pas réduire la crise ivoirienne à un "conflit entre anges et démons", se démarquant des appels au départ de Laurent Gbagbo, selon un document publié lundi par le quotidien The Times.

"La crise actuelle ne vient pas d`un conflit entre des anges et des démons", écrivait Thabo Mbeki le 7 décembre dans une lettre transmise au président de la commission de l`UA, Jean Ping, au retour d`une mission de médiation en Côte d`Ivoire pour l`UA.

"Le seul moyen de résoudre la crise ivoirienne est de convaincre Gbagbo et (son rival Allassane) Ouattara de négocier", poursuivait l`ex-chef d`Etat, en mettant en garde contre le risque de "guerre très destructrice" en l`absence de dialogue.

Thabo Mbeki a supervisé en 2008 la signature d`un accord de partage du pouvoir au Zimbabwe. En Côte d`Ivoire, il prône également une "solution qui englobe toutes les parties", sans recommander ouvertement la mise en place d`un gouvernement d`union.

Malgré ce courrier, l`UA a suivi l`ONU, l`Union européenne ou encore Washington et pressé Laurent Gbagbo de céder le pouvoir à M. Ouattara, estimant qu`une solution de partage du pouvoir n`était pas envisageable.
La Communauté économique des Etats d`Afrique de l`Ouest (Cédéao, 15 pays) menace même depuis le 24 décembre de le déloger par la force s`il ne se plie pas à ces injonctions.

Des brêches sont toutefois apparues dans les positions africaines: l`Angola a récemment exprimé son soutien à Laurent Gbagbo et l`Afrique du Sud a prôné vendredi un changement d`approche. "Nous devons faire quelque chose d`autre que de demander à l`un des deux chefs de partir", a déclaré le président Jacob
Zuma.

La crise ivoirienne est née de la présidentielle du 28 novembre, dont la victoire est revendiquée par les deux rivaux. Certifiée par l`ONU, l`élection de M. Ouattara a été proclamée par la Commission électorale. M. Gbagbo a été déclaré vainqueur par le Conseil constitutionnel.

Selon le dernier bilan de l`ONU, les violences post-électorales ont fait 247 morts depuis la mi-décembre.

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