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15 août 2011 1 15 /08 /août /2011 21:31

Le vendredi 12 août 2011 s’est déroulée la cérémonie de passation de charge entre Grohi vincent et Ibrahim Kalil Konaté respectivement Directeur général sortant et nouveau Directeur général de l’Institut Ivoirien de l’Entreprise (INIE) au ministère de l’Artisanat et de la Promotion des PME.

 

Après les civilités, le Directeur de cabinet Monsieur Touré Ali a indiqué l’ordre du jour avant de lire l’Arrêté nommant Monsieur Ibrahim Konaté Kalil en qualité de Directeur Général de l’INIE. Le directeur général sortant de l’INIE a fait une brève présentation des missions de la structure et rappelé les actions à mener afin de permettre une aide efficace à l’entrepreneuriat.

 

A sa suite le nouveau directeur général a remercié Monsieur le ministre de l’Artisanat et de la Promotion des PME pour la marque de confiance qu’il lui a manifestée. Il a ensuite félicité le directeur sortant pour le travail déjà abattu et annoncé qu’il envisage poursuivre mais en y apportant quelques aménagements.

 

Prenant à nouveau la parole, Monsieur Touré Ali a rendu hommage aux deux personnalités. D’abord, il a remercié le directeur sortant pour le fair-play dont il fait preuve, car, dira-t-il, « toutes les passations de service ne se font pas dans un esprit aussi fraternel ». Au nouveau directeur général, il a adressé ses félicitations pour avoir agit en toute humilité et modestie en accédant à ce poste. Un standing ovation leur a été faite par la même occasion.

 

Avant de mettre fin à la cérémonie le Directeur de cabinet a lancé un vibrant appel aux forces vives de la nation pour soutenir l’INIE. Après le mot de fin de Monsieur Touré Ali, le Directeur de l’INIE a accordé aux journalistes présents une conférence de presse. Il a indiqué sa volonté de permettre aux PME de rehausser leur contribution dans le PIB.

 

En Côte d’Ivoire, la contribution des PME au PIB est seulement de 18%, alors que dans les pays émergents leur contribution est de 80%. Monsieur Ibrahim Kalil Konaté envisage assister et redynamiser les PME sinistrés suite à la crise post-électorale.

Le service de communication

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15 août 2011 1 15 /08 /août /2011 21:26

Le gouvernement de Côte d’Ivoire et Air France – KLM ont passé en accord pour lancer en janvier prochain les premiers vols d’une nouvelle compagnie aérienne nationale, sur les décombres d’Air Ivoire.


Selon le ministre des transports ivoiriens Gaoussou Touré, cité par l’agence Bloomberg, le groupe aérien franco-néerlandais prendrait 35% des parts dans la nouvelle compagnie, 51% étant contrôlés par l’état et le reste par des actionnaires privés. Pas encore de nom, mais le capital sera de 108 millions de dollars, l’état ivoirien promettant en outre de remettre au pot 21 millions de dollars chaque année afin d’aider la compagnie à devenir « un transporteur national puissant », pour reprendre les mots du ministre.


M. Touré a rappelé que les quatre appareils d’Air Ivoire, trois Boeing 737-500 et un Airbus A321, sont cloués au sol depuis plus de quatre mois en raison des coûts d’exploitation et des dettes accumulées par la compagnie. L’hebdomadaire Jeune Afrique de son côté déclare que les avions de la nouvelle compagnie seront fournis par les Sud-Africains d’Interair.


A la fin juillet, le PDG d’Air Ivoire Jean-Cyril Spinetta annonçait que la compagnie s’attacherait à développer un réseau régional sans se confronter à Air France, avant de se lancer à termes sur des liaisons internationales. La concurrence en Afrique de l’Ouest viendra de la nouvelle Air Sénégal, qui souhaite se développer depuis Abidjan, voire d’Air Mali, Mauritanian Airlines, Ethiopian Airlines ou Asky Airlines… Reste à savoir si ces plans vont changer maintenant que le choix de lancer une nouvelle compagnie a été pris.

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15 août 2011 1 15 /08 /août /2011 21:21

La Direction de la société immobilière Azuréenne de Promotion a publié ce communiqué de presse à l`intention de leurs souscripteurs. Le voici en intégralité.


Sur la base de la lettre N°12296/MCU/DDU/SDPAA/KF/DA du 08 juin 2005 portant attribution de la parcelle de terrain d’une superficie de 3 446 493 m² sise à Anyama- Adjamé (quatre croix) commune d’Anyama, à la société Azuréenne de Promotion, nous sommes heureux de porter à votre connaissance, que le Ministre de la Construction et de l’Urbanisme a approuvée le 12 Novembre 2010, le plan de lotissement N°P -130 du 14 octobre 2010 de la commune d’Anyama.

Le nouveau plan de lotissement approuvé nous exige la reprise des travaux d’ouverture des voies, de décapage, de bornage et d’implantation des plaques d’immatriculation.

A ce jour, nous sommes heureux de vous informer que nous avons bouclé le financement des travaux avec nos partenaires techniques et financiers.

Ainsi, nous pouvons respecter notre engagement qui est de donner les lettres d’attribution à chacun de nos clients que vous êtes.

En effet, sur la base de l’approbation du lotissement, nous avons pu obtenir plus de 3000 lettres d’attribution individuelle au nom de chaque souscripteur avec les numéros de lots et ilots.

C’est pour le démarrage effectif des travaux que monsieur DJEDJE Louis, notre Directeur Général, s’est absenté du pays depuis le mois de novembre 2010.

Il s’agit d’un engagement privé et volontaire entre vous qui êtes nos clients et nous.

Nous sommes venus vers vous pour vous présenter notre projet auquel vous avez accepté librement d’adhérer. Vous avez fait le bon choix. Vous nous avez fait confiance et vous ne serez pas déçus.

Nous avons le respect de vos épargnes qui sont logés dans un comptes séquestre à la Banque de Financement de l’Agriculture (BFA) depuis l’année 2006.

A Azuréenne de Promotion, notre métier c’est l’immobilier. Nous ne savons pas faire de la politique et nous n’avons pas l’intention de nous y essayer.

Nous avons toujours souhaité travailler dans la discrétion dans le souci de préserver les intérêts de nos clients. Et nous préserverons vos intérêts.

Nous vous remercions pour votre patience.

Pour Azuréenne de Promotion
Monsieur DJEDJE Louis Durand

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15 août 2011 1 15 /08 /août /2011 21:16

En colère, elles se sont rassemblées nombreuses, le samedi dernier 13 août 2011, à la mairie de Yopougon. En effet, des milliers femmes entendaient ainsi crier leur révolte et réclamer ainsi justice face à la mort d`un jeune manifestant tué à Yopougon-sable pendant la crise post-électorale.

 

De fait, lors d`une manifestation du Rhdp à Yopougon pendant les heures chaudes de la crise post-électorale, les manifestants ont bloqué la circulation, empêchant ainsi tout mouvement de véhicule. C`est en ce moment là qu`une voiture, avec à son bord des hommes de race blanche, reconnus comme étant des Libanais, ont sorti leur arme et tiré dans la foule de manifestants, occasionnant ainsi des blessés et un mort.

 

Pour les milliers de femmes qui ont donné de la voix le week-end dernier à Yopougon, ce crime ne doit pas resté impuni. `` Le président Alassane Ouattara a dit que toute la lumière sera faite sur tous les crimes et rien ne restera impuni. C`est pourquoi nous avons décidé de nous réunir ici pour dire haut et fort que justice doit faite``, a indiqué Hadja Cissé. Le père de la victime, présent à la mairie de Yopougon, lors de la manifestation des femmes, a indiqué que trois personnes, à bord du véhicule d`où est parti le coup, ont été identifiées et contre lesquelles il entend porté plainte.

 

Il s`agit, selon lui, de Soudan Ghassan, de Al Anis Marwan, et de Soudan Rohan. Ces derniers sont d`ailleurs soupçonnés d`avoir caché des armes. Ils auraient entretenu et hébergé des miliciens et mercenaires à la solde de l`ancien régime. `` Nous allons saisir le procureur de la République, afin que celui qui a tiré et tué mon fils soit arrêté et traduit devant la justice``, a dit le père de la victime. Selon la porte parole des Hadja Cissé, un giga meeting sera très bientôt organisé devant la ministère de la justice afin de contraindre le gouvernement à se pencher sur ce dossier.

 

`` Nous donnons 48 heures au gouvernement pour se saisir très rapidement de ce dossier, sinon nous allons bruyamment manifester pour nous faire entendre. Car nous entendons dire que ces individus sont protégés par un ministre de la République. Qu`on sache que nul n`est au-dessus de la loi ``.

 

Les femmes, comme un seul homme, ont interpellé le Premier ministre et le Président de la République afin qu`ils accordent une attention particulière à cette affaire. `` Nous soutenons Alassane Ouattara dans sa politique de réconcilier les Ivoiriens. Mais il faut une réconciliation en rendant justice aux victimes. Le président de la République a promis qu`il rendra justice. Alors pour ce crime qu`il interviennent alors personnellement``, ont dit en coeur les femmes qui restent determinées à aller au bout de leur action.

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15 août 2011 1 15 /08 /août /2011 21:12

YAMOUSSOUKRO - Le président de la Commission Dialogue, Vérité et Réconciliation, Charles Konan Banny, a assuré dimanche à Yamoussoukro (centre, 230 km d'Abidjan) que personne ne parviendra à le "décourager" dans la conduite de sa mission de réconciliation des Ivoiriens.


"Personne n'arrivera à me décourager dans la conduite de la mission qui m'est confiée et qui est la poursuite de l'oeuvre de paix de Félix Houphouët-Boigny, premier président et père de la Côte d'Ivoire moderne", a martelé Charles Konan Banny lors d'une cérémonie d'hommage et de soutien des populations de Yamoussoukro, son terroir.

"Si j'ai accepté cette mission de réconciliation nationale, c'est parce que je veux être disciple d'Houphouët-Boigny car il n'y a rien de mieux que la paix, paix dans nos régions, dans nos villes, dans nos villages et hameaux et surtout paix dans nos coeurs", a-t-il ajouté.

Pour lui, cette cérémonie démontre que "nous sommes tous bien ensemble, que les Ivoiriens sont un".

"Ici à Yamoussoukro, nous prenons résolument ce jour un engagement dans la mission de réconciliation pour arriver à la paix dans notre pays", a poursuivi le président de la Commission Dialogue, Vérité et Réconciliation.

Sans décliner le contenu de la mission de sa Commission dont la composition n'est pas encore achevée, M. Konan Banny a levé un coin de voile sur le mode opératoire.

"Le mode opératoire tournera autour de trois axes notamment le dialogue, la vérité et la réconciliation. Oui, il faut dialoguer comme nous l'a appris notre père à tous, Félix Houphouët-Boigny, tourner le dos au mensonge qui nous a plongés dans cette situation de division en se disant la vérité afin qu'ensemble tous les enfants de la Côte d'Ivoire s'acceptent, se parlent sans tabou ni clivage pour aller au développement de notre pays et renouer avec la prospérité pour le bonheur de tous", a-t-il expliqué.

Pour M. Konan Banny, la réconciliation est rendue indispensable pour ce que les Ivoiriens ont connu de tragique dans l'histoire de leur pays.

"Nous voulons nous réconcilier par ce que nous-nous sommes opposés non pas par la force des arguments mais par la guerre. Nous avons connu la guerre. Nous savons maintenant ce que c'est que la guerre, nous saurons désormais la rejeter", a-t-il dit encore Charles Konan Banny qui souligné s'inscrire "résolument dans la logique de paix de Félix Houphouët-Boigny".

La Commission Dialogue, Vérité et Réconciliation a été créée par le président Alassane Ouattara pour tenter de faire la lumière sur les affrontements post-électoraux qui ont fait plus de 3 000 morts et réconcilier les Ivoiriens.

 

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15 août 2011 1 15 /08 /août /2011 20:59

Depuis un certain moment, une certaine presse s'est donné pour mission de vilipender à travers ses écrits dirigés contre la mission permanente de la République de Côte d’Ivoire auprès de l’ONU et son chef, un très brillant diplomate de carrière S.E.M Youssoufou Bamba, ainsi que ses collaborateurs.

A court d’arguments et encore sonnée par le travail titanesque abattu par cette mission, cette presse s’est donnée pour mission d’abattre le symbole que constitue New York.


Pour rappel New York fut la première représentation ivoirienne dans le monde à accueillir le premier ambassadeur nommé par le président Alassane Ouattara et fut par conséquent la rampe de lancement de toutes les actions qui à terme entrainèrent la chute du régime FPI.

Parmi ses actions, les célèbres résolutions sur les armes lourdes et le gel des avoirs du clan Gbagbo.

Les diplomates en poste en payeront d’ailleurs le prix fort de la lutte pour la démocratie par la suspension par Abidjan de leurs salaires pendant près de 5 mois (de décembre 2010 à avril 2011), le non-paiement de leurs loyers et autres avantages avançant qu’ils devraient se tourner désormais vers M. Ouattara pour leurs salaires et loyers. C’est dans ces conditions, rappelons-le qu’un des conducteurs en poste à la mission, est décédé, faute d’argent pour se faire soigner, laissant par la même occasion une veuve et des orphelins inconsolables.


C'est ici le lieu, connaissant le coût de la vie à New York, de féliciter l'ambassadeur et toute son équipe qui ont su, malgré toutes les menaces et pressions inimaginables parfois physiques (actions de sabotage, empêchements d’accéder aux locaux de la mission, etc.) faire preuve de résistance, d’abnégation et de sacrifices afin de faire triompher la démocratie dans notre pays. Leur courage et leur sens élevé du devoir auront donné du fil à retordre aux refondateurs qui dans une ultime tentative d’intimidation ou de désespoir avaient envisagé leur radiation de la fonction publique.

Bien évidemment ils furent aidés dans leur funeste entreprise par des agents recrutés à la mission, tantôt sur la base de leur militantisme au FPI, tantôt pour leur lien de parenté ou leur accointance sentimentale avec le pouvoir d’alors, qui passèrent le plus clair de leur temps à la délation et à l’organisation de marches de soutien aux horaires de travail.

La réduction de ce personnel pléthorique et budgétivore (20 agents locaux pour 9 diplomates) sera d’ailleurs, la légalité constitutionnelle rétablie, l’un des premiers chantiers de l’ambassadeur Bamba qui décidera de mettre en congé ce personnel recruté sur la base ethnique, du droit de cuissage de copinage et de militantisme.

C’est d’ailleurs l’un de ces militant recruté sous l’ère Alcide Djédjé en tant que journaliste( ?) reporter et correspondant extérieur de télé- diaspora et de « Notre Voie » qui a juré d’avoir la peau des diplomates légalistes, avec à leur tête le chargé d’affaire Bafetigue Ouattara. Ce journaliste ( ?) militant à qui le ministre- ambassadeur Djédjé avait promis d’en faire un diplomate en cas de victoire de son parti à l’élection présidentielle, a décidé de déverser sa frustration et sa bile sur les diplomates coupables, selon lui, d’avoir ruiné une carrière internationale certes problématique, qui lui tendait les bras.

La preuve patente en sera donnée dans le dernier article produit par ses soins et qu’il va pompeusement qualifier de scandale à la mission permanente de Côte d’ivoire à l’ONU. Aveuglé par son désir de vengeance, il citera comme complice du chargé d’affaire une secrétaire qui au moment de la période qu’il prend comme référence avait été à l’image d’autres agents, mise en congé technique du 15 mars au 14 juin 2011. Par quelle magie alors que celle-ci était en congé technique, a-t-elle pu délivrer une centaine de visas dont trace figure dans les registres de la mission ? Il évoque dans son délire un agent secret, des victimes et une enquête imaginaires qui aurait été diligentée par l’ambassadeur et dont personne n’a connaissance.

Il est même stupéfiant de constater les amalgames relatifs aux « préoccupations » de la mission américaine dans une affaire (la délivrance de visas) qui relève de la souveraineté de la Côte d’Ivoire (un peu comme si Abidjan se plaignait du fait que l’ambassade américaine à Abidjan délivre peu ou trop de visas).

Enfin le reporter( ?) improvisé n’a cure des principes déontologiques comme l’équilibre de l’information ou la vérification des sources tant il est aveuglé par son désir de nuire et qui transparait à travers tous ses billevesées malgré les tonnes de pseudonymes qu’il se donne.


Bref, tout ceci serait risible si la réputation et l’honneur d’honnêtes pères et mères de famille n’était pas en jeu. Toutefois plus que l’indignation, c’est la compassion et la pitié qui doivent être ressenties pour l’auteur de l’article( ?). Pour qui connait l’individu dont on sait l’âme tourmentée par autant d’années de « one way /sans papier » au pays de l’oncle Sam et l’absence de perspective d’avenir, il ya de quoi.

Les diplomates de la mission approchés pour leur part, affichent leur sérénité et entendent par devoir de réserve pas tomber dans le piège du traquenard médiatique qui leur est tendu car selon leurs propres termes, ils ont « vu pire ».

SERY POUAMON A NEW YORK (SOURCE LEBANCO.NET)

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15 août 2011 1 15 /08 /août /2011 20:56

Communiqué


Conformément aux textes qui régissent le processus électoral devant conduire à l'Assemblée Générale élective du 10 Septembre 2011, le candidat Augustin Sidy DIALLO a fait usage de son droit d'exercer un recours contre les décisions de la Commission Electorale qui ont déclaré éligibles les listes conduites respectivement par messieurs ANZOUAN KACOU Albert et BICTOGO Salif.

L'usage du recours qui est d'ailleurs une voie offerte à tous les candidats, vise à faire vérifier à nouveau, mais par un organe différent du premier cité, que les listes concurrentes remplissent effectivement, toutes les conditions d'éligibilité telles que définies et adoptées par les clubs de Cote d'Ivoire dans les statuts de la FIF lors de l'Assemblée Générale du 9 juillet 2011.

Il convient à cet égard de rappeler que la pratique du football sur une aire de jeu exige le respect de règles précises par les joueurs. Il en est de même pour le processus électoral donnant accès à la présidence de la Fédération Ivoirienne de football.

C'est donc respectueux de toutes ces règles édictées par les clubs eux-mêmes et en compétiteur loyal que le candidat Augustin Sidy DIALLO souhaite engager le débat d'idées sur l'avenir du football ivoirien avec les concurrents et frères que la Commission de Recours aura décidé de retenir.

Le prochain président de la Fédération Ivoirienne de Football devra également avoir pour premier devoir de veiller au respect scrupuleux des textes.

En attendant la décision de la commission de recours et l'ouverture officielle de la campagne électorale qui lui permettra de présenter son projet sportif pour le football Ivoirien, le candidat Augustin Sidy DIALLO exprime sa gratitude à toutes celles et à tous ceux qui lui témoignent leur sympathie et fraternité sportives depuis l'annonce de sa candidature.

Fait à Abidjan, le lundi 15 août 2011

LA CELLULE DE COMMUNICATION

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14 août 2011 7 14 /08 /août /2011 18:35

Le professeur Bah Zézé, membre du Front populaire ivoirien (Fpi), n’est plus le président du conseil général du département de Daloa. Il en a été destitué, hier, à l’issue d’une session extraordinaire du conseil, tenue dans la salle de réunions de la préfecture. Il a été remplacé à ce poste par le professeur Séri Bialli, membre du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci-Rda) qui vient avec une nouvelle équipe dirigeante.

 

Avant de développer les quatre points qui étaient à l’ordre du jour, le préfet de région, Brou Kouamé a exprimé sa joie de voir le conseil général, qui est un instrument de développement par excellence, reprendre ses activités. Il l’a invité à prendre une part active dans le processus de réconciliation amorcée par le chef de l’Etat pour un réarmement moral face à la fracture sociale causée par la crise.

 

Pour le préfet, le temps est opportun pour que les élus soient aux côtés des populations sur lesquelles ils ont une influence. A l’examen du premier point à l’ordre du jour intitulé ‘’examen de la vacance de la présidence du conseil général de Daloa’’, une synthèse des débats a été faite sur sept points :


1/ L’ensemble des intervenants constate une paralysie du fonctionnement du conseil général du département de Daloa,


2/ Cette paralysie est le fait de l’absence prolongée du président du conseil, le professeur Bah Zézé,


3/Le conseil général, de fait constate la vacance de la présidence.


4/ Le conseil général demande dans ce cas, l’application de l’article 88 de la loi instituant le conseil général de Daloa.


5/ En conséquence, le conseil demande au premier vice-président, le professeur Séri Bialli, d’assurer le poste de président du conseil général du département de Daloa,


6/ A ce titre, il est chargé de former le nouveau bureau du conseil général de Daloa.


7/ Le conseil lui demande de conduire le conseil général de Daloa sur le chantier de la réconciliation nationale, de la paix, de la reconstruction et du développement conformément à la volonté de l’Etat de Côte d’Ivoire.


Il faut noter que le professeur Bah Zézé n’a jamais mis les pieds à Daloa depuis la chute de Laurent Gbagbo. Ce qui a entraîné un blocage du fonctionnement du conseil depuis plus de 4 mois.

 

Le  nouveau bureau du conseil est composé du professeur Séri Bialli et de ses 5 vice-présidents que sont Célestin Séri Obou du Fpi, Séri Bi N’Guessan du Pdci, Koré Lohouri du Fpi, Adèle Zoko du Pdci et Justin Dogbo Lago du Rdr.

Bayo Fatim à Daloa

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14 août 2011 7 14 /08 /août /2011 18:32

Deux proches de Laurent Gbagbo ont été inculpés pour des "crimes économiques" commis durant la crise post-électorale, portant à 39 le nombre de figures du camp Gbagbo détenues dans le nord du pays, a annoncé samedi le parquet d'Abidjan.


"Deux nouvelles personnes ont été inculpées cette semaine et placées en détention préventive dans les Maisons d'arrêt et de correction de Bouna (nord-est) et de Katiola (centre-nord)", indique dans un communiqué la porte-parole du parquet, Habiba Coulibaly.


 L'identité des inculpés n'a pas été révélée. Douze personnes qui étaient en résidence surveillée dans ces deux villes depuis avril ont été inculpées récemment d'"atteinte à la sûreté de l'Etat" et placées en détention préventive. Parmi elles figurent le président du Front populaire ivoirien (FPI, ex-parti au pouvoir), Pascal Affi N'Guessan, et le fils de Laurent Gbagbo, le Franco-Ivoirien Michel Gbagbo.


 Vingt-cinq personnalités, dont une bonne partie de l'ex-gouvernement, sont aussi inculpées et détenues à Boundiali (nord) pour atteinte à la sûreté de l'Etat ou crimes économiques. Un journaliste pro-Gbagbo est incarcéré à Abidjan.


 Une soixantaine de militaires fidèles au régime déchu, dont 40 sont en détention, ont par ailleurs été inculpés pour des crimes commis durant la crise.


 Laurent Gbagbo et son épouse Simone sont toujours en résidence surveillée, l'un à Korhogo (nord) et l'autre à Odienné (nord-ouest), et n'ont pas été inculpés.

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14 août 2011 7 14 /08 /août /2011 18:17

Il est opérateur économique et président d’une organisation dénommée Cri de la Liberté. Il initie une manifestation d’intérêt à l’endroit du président Laurent Gbagbo. A cet effet, Bamba Mamadou lance une collecte de pétitions pour réclamer la libération de Laurent Gbagbo, prisonnier politique de la France et de Ouattara.

Cela fait exactement quatre (4) mois aujourd’hui jeudi 11 août 2011, soit 122 jours, que S.E.M Laurent Gbagbo a été arrêté par les Forces spéciales françaises sous l’instigation de Messieurs Ouattara, Sarkozy, Obama et Ban Ki-Moon. Le 11 avril 2011 marque pour nous la fin du coup d'État débuté le 19 septembre 2002.


Après son arrestation, comme vous le savez, le Président Laurent Gbagbo a été déporté, deux jours après, à Korhogo dans le nord de la Côte d’Ivoire.


Depuis quatre (4) mois, il est coupé de sa famille, de ses proches, des Ivoiriens qui continuent de le soutenir, malgré les vaines tentatives de le faire oublier.


Chers amis de la presse, le Mouvement citoyen « Cri de la Liberté » que je préside a décidé de lancer une « Pétition pour la libération du Président Laurent Gbagbo ». Nous le faisons avec la bénédiction et le soutien de Monsieur Koné Katinan Justin, Porte-parole du Président Laurent Gbagbo.


Avant de dévoiler le plan de notre action, nous voudrons rendre d'abord gloire à DIEU, notre maître et berger qui continue de manifester sa fidélité, en dépit des tribulations, à notre grand pays, à SEM Laurent Gbagbo et à tous les détenus du ''Vivre ensemble''. A eux, nous associons tous les Ivoiriens exilés et non qui continuent de bénéficier de l'amitié du très Haut. Merci Seigneur DIEU, le miséricordieuse par Essence et par Excellence !


Chers amis journalistes, cette opération « Pétition pour la libération du Président Laurent Gbagbo », qui commence ce jeudi 11 août 2011, a pour objectif de montrer et de démontrer à l’opinion nationale et internationale que le Président Laurent Gbagbo demeure le leader politique le plus aimé de Côte d’Ivoire. In fine, il s’agit d’obtenir la libération du président Laurent Gbagbo ainsi que celle de tous les prisonniers politiques. Civils comme militaires.


Nous comptons recueillir à moyen terme, dans le cadre de l’opération « Pétition pour la libération du Président Laurent Gbagbo », trois (3) millions de signatures.


Quelles méthodes, allons-nous utiliser pour parvenir à notre objectif ?


Soyez rassurés, chers amis journalistes : ce sont des méthodes non violentes et pacifiques comme nous l’a enseigné le Président Laurent Gbagbo. C’est Gandhi qui disait que « Ce que tu gagneras par la violence, une violence plus grande te le fera perdre ». Et Martin Luther King de préciser que :


« Ce qui ne peut s’enseigner que par des coups et au prix de la violence ne portera que de mauvais fruits ». Donc, nous nous inscrivons dans cette voie non-violente. Voici donc comment nous allons procéder pour faire signer la Pétition :

1-Le Porte-à-porte
Nous allons faire du porte-à-porte aussi bien en Côte d’Ivoire qu’à l’extérieur avec des fiches sur lesquelles tous ceux qui souhaitent signer la pétition puissent y mettre leurs Nom et Prénom (s), Profession, Contacts et signature.

2-Les Emails
Tous les internautes qui souhaitent signer la pétition peuvent écrire à l’adresse électronique suivante : libertegbagbo@aol.com ou à info@actionliberte20.org ou aller si le site Web (http://www.actionliberte20.org) où vous trouverez un formulaire à remplir.

Que DIEU bénisse la Côte d’Ivoire !



Bamba Mamadou



Président national de « Cri de la Liberté »

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