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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 10:11

Le site en ligne dakaractu.com a révélé, hier, que l’ambassadeur des Etats-Unis à Dakar, a confirmé l’authenticité du câble de Wikileaks. Selon dakaractu, Lewis Lukens a déclaré, au cours d’une réunion avec ses homologues occidentaux accrédités au Sénégal, que ce sont les services américains qui «ont effectivement remonté» l’information que Le Quotidien a reprise de Wikileaks et publiée (édition du mardi 13 septembre 2011), et selon laquelle Karim Wade a été pris en possession de haschich à l’Aéroport de Casablanca au Maroc.

 

Nous reproduisons ci-dessous l’article publié hier par nos confrères de dakaractu. L’arrestation de Karim Wade au Maroc pour détention de drogue s’est invitée hier à la réunion des ambassadeurs occidentaux, évoquée ci-dessous. Interrogé sur la question, Lewis Lukens, l’ambassadeur des Etats-Unis à Dakar, a répondu : «Ce sont nos services qui ont effectivement remonté cette information. L’auteur de la dépêche diplomatique était chargé d’affaires dans notre ambassade à Rabat, au moment des faits. Il s’appelle Robert Jackson et est reconnu pour sa rigueur et son professionnalisme.» Pourquoi alors Karim Wade conteste-t-il le contenu de son câble ?, lui demande l’ambassadeur du Japon. Réponse de Lukens : «Je ne sais pas. En tout cas, qu’il ne compte pas sur nous pour faire le moindre commentaire sur cette dépêche diplomatique ! L’ambas­sadeur du Sénégal aux Etats-Unis fait des envois sur notre pays et c’est son droit.»


Le représentant des Etats-Unis ajoute, à propos de la sommation interpellative censée être adressée par Karim Wade à son prédécesseur : «La Convention de Vienne est formelle sur les questions d’immunité et de réserve. Marcia a fait son travail et ne peut être ni poursuivie pour cela ni contrainte à s’expliquer.» Lewis Lukens ne s’est pas limité à ces explications. Il a pris une initiative que dakaractu révélera dans les jours à venir. 


source : dakaractu.com

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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 10:08

Wikileaks et ses grosses révélations ! Selon un câble diplomatique américain rendu public par Wikileaks, le roi Mohammed VI serait intervenu en août 2009 pour faire libérer Karim Wade, le fils du président sénégalais, arrêté à l’aéroport Mohammed V de Casablanca pour possession de drogue. L’intervention de Mohammed VI serait motivée par son amitié avec Wade fils, mais aussi par le souci de préserver les bonnes relations qu'entretiennent le Maroc et le Sénégal.

Mohammed VI, Abdoulaye Wade et son fils Karim.


Karim Wade, le fils du président sénégalais et non moins ministre d’Etat chargé de la Coopération internationale, de l’Aménagement du territoire, des Infrastructures et des Transports aériens de son pays, aurait été arrêté en août 2009 à l’aéroport Mohammed V de Casablanca pour possession de haschich, avant d’être libéré sur intervention du roi Mohammed VI. Les faits sont racontés par Robert P. Jackson, alors chargé d’affaires de l’ambassade des Etats-Unis à Rabat, dans un télégramme transmis à ses supérieurs d’outre-Atlantique le 6 septembre 2009 et divulgué par Wikileaks ce 30 août 2011.


Selon le diplomate américain toujours, qui cite les services de renseignements, cette brève arrestation de celui qui ambitionne de succéder à son père à la tête du Sénégal a coûté son poste à un officier supérieur de la Police à l’aéroport de Casablanca, « brutalement affecté à un poste à Laâyoune ».


La presse marocaine s’était alors fait l’écho de cette affaire, narrée en détails par le chargé d’affaires de l’ambassade des Etats-Unis : « Les motifs invoqués étaient divers : un journal déclarait que c’était parce qu’il avait arrêté un proche d’un dirigeant africain, qui transportait de la drogue. D’autres journaux assuraient que c’était dû à une série de fautes professionnelles non spécifiées ; et même à un scandale sexuel. Mais des informations de Police ont confirmé la première raison, et indiqué que le proche en question était Karim Wade, le fils du Président sénégalais Abdoulaye Wade. »


Deux pas en avant, un en arrière


Robert P. Jackson explique l’intervention du souverain marocain par le souci de préserver les relations entre les deux pays amis, car « l’arrestation du jeune Wade pouvait mettre en danger les relations entre le Maroc et le Sénégal ». Mais ce n’est pas tout : « Le roi Mohammed VI, dont l’amitié avec le ministre d’Etat Karim Wade est connue, n’a pas du tout apprécié de n’avoir pas été informé de l’arrestation de ce dernier par les fonctionnaires de l’aéroport. D’où sa décision de sévir contre eux », poursuit la missive du diplomate, qui revenait sur les efforts déployés par le royaume dans sa lutte contre la drogue. Une lutte qui consiste à « faire deux pas en avant et un arrière », observe la représentation américaine.


Au Sénégal, « cette grosse révélation » fait la « Une » de la presse et la polémique bat son plein. Une nouvelle affaire qui risque d’enfoncer un peu plus le fils de Wade, déjà cités dans plusieurs scandales financiers et très impopulaire auprès d’une écrasante majorité des Sénégalais opposés à « une succession monarchique » à la tête de cette république qui fut pendant longtemps un modèle de démocratie en Afrique. Ce mardi 13 septembre, Karim Wade a sorti un communiqué dans lequel il dit déclarer sur son honneur qu’il n’a « jamais été arrêté ou interpellé au Maroc ou ailleurs » et envisage même de poursuivre en justice « les auteurs de ces articles et les personnes incriminées ». Les journalistes ou les diplomates ?


Du côté de Rabat, aucune réaction pour le moment. Quant aux Américains, leur constat est sans appel sur la lutte contre la drogue au Maroc : « Si la répression est dirigée par les plus hautes autorités, ces dernières peuvent aussi contrôler la suite des efforts d’interdiction. »


source: Webnews

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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 10:06

( Rfi ) L’avocat français Robert Bourgi a évoqué dans la presse ce week-end, des financements occultes de chefs d’Etat africains dont aurait bénéficié l’ancien Président français Jacques Chirac. De nouvelles réactions à l’affaire se sont fait entendre, (hier). Parmi elles, celles de plusieurs dirigeants africains, dont le Président sénégalais, Abdoulaye Wade qui se trouvait à Paris à l’occasion de la remise du prix Félix Houphouët-Boigny.

 

L’occasion était belle : la remise du prix Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix de l’Unesco. La cérémonie s’est déroulée quelques jours après le déballage de Robert Bourgi, ce conseiller de l’ombre de l’Elysée pour les affaires africaines qui a évoqué des mallettes de billets remises par des chefs d’Etat africains à l’ancien Président français Jacques Chirac. Une centaine de personnes, essentiellement issues des diasporas africaines, se sont ras­semblées à proximité de l’Unesco pour manifester «contre la corruption» des gouvernements africains et dénoncer les réseaux opaques de la Françafrique. Bien gardés par des gendarmes mobiles, certains scandaient : «J’aime la France, j’aime l’Afrique, mais je n’aime pas la France-à-fric». «A bas la Françafrique !»


Pour le Président sénégalais Abdoulaye Wade, dont le nom est cité par Robert Bourgi, «il n’y a pas de désamours» ; dans cette réponse, il ne parle pas de Robert, mais de son frère Rasseck. Un avocat, lui aussi, qui a travaillé au sein du cabinet de Wade. Il est même aujourd’hui l’avocat du fils Wade. «Rasseck Bourgi est toujours mon fils, il a appris son métier chez moi. Quant à l’autre (Robert Bourgi), je ne réponds pas», a t-il déclaré.

 

L’Ivoirien Laurent Gba­gbo, dont les rapports étaient pourtant exécrables avec le Pré­sident Chirac, a également été cité par Robert Bourgi. Son successeur Alassane Ouattara, qui a longtemps été aux affaires avant de devenir président de la Ré­publique, assure qu’il n’y a pas eu de valise qui circulait. «Je pense qu’il y a beaucoup de rumeurs, mais je n’ai aucun élément.»

Et c’est l’Ong argentine des Grands-mères de la place de Mai qui a été récompensée par le prix Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix de l’Unesco (…).


Rfi

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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 09:54

La brigade de salubrité urbaine a été remise en scelle mercredi par le ministère de la Salubrité urbaine, lors d’une cérémonie marquant le redémarrage des activités de la dite brigade.

 

Unité mixte composée des éléments des forces de l’ordre et d'agents civils, la brigade de salubrité urbaine est chargée d’apporter un appui logistique dans la lutte contre les installations anarchiques, les nuisances de toutes formes et les occupations illicites des domaines publiques.

 

La brigade de salubrité comprend 52 membres dont 30 ex-combattants auxquels s’ajoutent des agents de la police et de la gendarmerie nationale.

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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 09:52

Kragbé Suzanne a paré mercredi la Côte d’Ivoire de sa toute première médaille en or, en se hissant au sommet de l’épreuve de lancée de disque féminin avec une performance de 56,56 m.

 

L’Ivoirienne a devancé la Sud-africaine Elizna Nandé et la Togolaise Alifatou Djibril qui ont respectivement réalisé une performance de 53,63m et 46,46 m. "Je suis contente parce que jusque-là nous n’avions pas de médaille d’or, mais j’aurai souhaité améliorer ma performance", a affirmé Kragbé Suzanne tout en indiquant qu’elle a dû se surpasser pour venir à bout de la Sud-africaine, championne d’Afrique en titre.

 

Cette victoire permettra à la délégation ivoirienne de vivre un moment d’émotions et de fierté au stade national de Zimpeto jeudi, lorsque l’Abidjanaise retentira.

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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 09:50

La mairie de Korhogo, par la voix du 3e adjoint au maire, Lacina Koné, a annoncé mardi une vaste opération de démolition des constructions anarchiques sur le domaine public.

 

Il a indiqué que les constructions visées, dont la plupart ont été déjà marquées depuis quelques jours, seront purement et simplement détruites et leurs occupants déguerpis, à partir de lundi.

 

Installés illégalement à la faveur de la longue crise du 19 septembre 2002, les propriétaires de ces édifices demandent aux autorités municipales de leur trouver des nouveaux sites de recasement.

 

Selon Lacina Koné, leur doléance est difficile à satisfaire parce qu’il est impossible de recaser tout le monde. Il leur demande alors de coopérer, soulignant que Korhogo s’inscrit dans le programme du gouvernement lancé depuis Abidjan.

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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 09:48
La mesure de gratuité des soins et médicaments instituée par le gouvernement n'est pas sans conséquence sur la qualité des soins administrés dans les établissements sanitaires publics, a constaté le journaliste de l'AIP à Daloa qui note un ‘’abandon’’ de ces hôpitaux au profit des cliniques privées.
En effet, l'enchantement qu'a suscité cette mesure dans ses débuts, à la mi-avril, fait place à un désenchantement réel chez les populations les moins nanties.
Parce que dans la ‘cité des Antilopes’, les hôpitaux publics tournent pratiquement au ralenti par manque, dit-on, de ressources additionnelles pour faire face aux charges des intrants et autres consommables devant permettre aux structures de fonctionner à plein régime, en attendant l'appui de l'Etat.
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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 08:38

Sylvain Miaka Ouretto, président par intérim du Front populaire ivoirien (FPI), est annoncé ce vendredi, au Ghana. Avant la réalisation de ce voyage, Patrick Zasso « Anglobal », chargé de communication et porte-parole de l’Association des réfugiés ivoiriens de la diaspora (ARID), interpelle le socialiste.


« C’est une bonne nouvelle. Dites au président Miaka que nous sommes prêts à l’accueillir si son calendrier prévoit une rencontre avec nous. Mais qu’il comprenne que la seule nouvelle que nous attendons ici où c’est dur pour tous les réfugiés, c’est qu’il vienne nous annoncer que Laurent Gbagbo et ses camarades de La majorité présidentielle (LMP) seront libérés sans condition et que seront annulés les mandats d’arrêt lancés tous azimuts contre les autres proches de Gbagbo par Alassane Ouattara. C’est à cette condition que nous allons rentrer de notre exil », râle « Anglobal », joint par téléphone depuis le Ghana.


Pour le porte-parole de l’ARID présidée par Benoit Kamena Brown, c’est la réponse du berger à la bergère. « Souvenez-vous de ce que Soro Guillaumes et ses amis de la rébellion faisaient prévaloir, il y a quelques années. Ils soutenaient qu’ils avaient pris les armes pour qu’on donne la nationalité ivoirienne à leur mentor Alassane Ouattara et lui permette du coup d’être candidat à la présidentielle. Et cela a été fait sous la pression de tous. Aujourd’hui, à notre tour, nous exigeons que Gbagbo et ses partisans soient remis en liberté », rappelle-t-il.

 

Schadé Adédé

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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 08:34

«Aucune réconciliation et aucune paix durable ne sont possibles sans Laurent Gbagbo et les autres camarades militants emprisonnés injustement et en exil». C’est la réponse des secrétaires généraux du Fpi de la fédération du département de Bondoukou à leur fédéral Kouadio Koffi Mouroufié qui leur faisait avaler cette pilule amère de la direction de leur parti «le Fpi ne pose pas de conditions pour aller à la réconciliation».

 

C’était le vendredi 9 septembre 2011 au siège du Fpi, à Bondoukou. Ils sont venus de toutes les contrées du département pour réaffirmer leur engagement au parti de Laurent Gbagbo, s’informer et poser les jalons de la continuité du combat pour la liberté et la démocratie, le fondement même de leur engagement politique.

 

Pour eux, après avoir fait l’état des lieux qui n’est pas reluisant. S’il n’y a pas eu de perte en vie humaine, beaucoup de militants sont en exil et  tous les biens sont partis en fumée ou volés. Une visite à leurs camarades militants emprisonnés à Bouna dont le président Pascal Affi N’Guessan démontre «de la cruauté de leur bourreau qui n’ont pas d’égards pour l’Homme. Un fond de commerce s’est installé autour de ces prisonniers politiques. Il faut payer 200 Fcfa pour les voir». Déplorent les secrétaires de sections. «Devant de telles humiliations, comment voulez-vous qu’on parte à la réconciliation ?» s’interrogent-ils.

 

Car pour eux «la réconciliation ce n’est pas aller danser et boire». Pire, font-ils remarquer «aujourd’hui, on peut même égorger quelqu’un dans la rue sans être inquiété pourvu qu’on ne soit pas un pro-Gbagbo». Après donc  plus de 50 ans d’indépendance, la Côte d’Ivoire semble encore au point de départ tellement la crise de ces dernières années l’a tirée vers le bas. La vie, les biens et la dignité d’autrui n’ont plus de valeur. C’est pourquoi, «il faut qu’on se parle franchement. Ce qui suppose que les conditions sécuritaires et de liberté de paroles sont réunies et garanties».

 

Mieux, comme Laurent Gbagbo l’a fait en son temps «une loi d’amnistie s’avère plus que nécessaire pour nous amener tous dans la voie de la réconciliation vraie et durable pour l’organisation sur une base consensuelle des prochaines élections», ont proposé les secrétaires de sections. Un plan d’action du dernier trimestre de l’année a été adopté en vue des futurs combats.


 Pascal Assibondry, Correspondant Régional

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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 08:32

Le président  Laurent Gbagbo a porté plainte à Paris contre l`armée française pour "tentative d`assassinat" lors de l`offensive menée en avril contre sa résidence par les forces de son rival Alassane Ouattara, appuyées par la France et l`ONU.


Un juge d`instruction a été nommé suite au dépôt, auprès du tribunal des armées de Paris le 5 juillet, de cette plainte avec constitution de partie civile par ses avocats, Me Jacques Vergès, Roland Dumas et Marcel Ceccaldi, a-t-on appris jeudi de source judiciaire.


Interrogé par l`AFP, le ministère de la Défense a indiqué "ne pas faire de commentaire sur une procédure en cours".


L`offensive à Abidjan avait précipité la chute de M. Gbagbo, qui avait été arrêté le 11 avril, ce qui avait mis fin à quatre mois de crise, dont deux semaines de combats.


L`offensive avait été menée par les forces de M. Ouattara grâce à l`appui décisif des moyens aériens et blindés de la force française Licorne et de celle de l`ONU (Onuci).


Les abords de la résidence présidentielle, où s`était barricadé Laurent Gbagbo et le dernier noyau de ses partisans, avaient notamment été la cible de tirs de missiles français, visant les armes lourdes qui y étaient déployés.


La France s`était défendue de toute participation directe des soldats français à l`arrestation de M. Gbagbo, indiquant que la force Licorne et l`Onuci avaient seulement agi "en soutien" à l`opération.


Au moins 3.000 personnes ont été tuées dans les violences liées à la crise post-électorale.

La justice française a déjà été saisie, en mai, d`une plainte d`une Française d`origine ivoirienne dont le père aurait été tué en mars lors des violences intercommunautaires qui auraient fait plusieurs centaines de victimes durant le mois, dans l`ouest de la Côte d`Ivoire dont la majorité dans la ville de Duékoué.


Les avocats de la jeune femme, Roland Dumas et Jacques Vergès, ont déposé plainte contre X pour crime contre l`humanité visant le président ivoirien Alassane Ouattara.


Par ailleurs la justice française a déjà été saisie de plaintes visant des militaires français en Côte d`Ivoire.


Quatre militaires, dont un colonel, ont ainsi été renvoyés devant les assises par une juge du Tribunal aux armées de Paris (TAP) pour le meurtre de Firmin Mahé, Ivoirien mort étouffé dans un blindé français en 2005 en Côte d`Ivoire.


Le colonel Eric Burgaud, soupçonné d`avoir donné l`ordre de tuer Firmin Mahé, comparaîtra à une date indéterminée pour homicide volontaire.

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