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13 avril 2013 6 13 /04 /avril /2013 20:37

 

L'armée ivoirienne a été mise en alerte face aux menaces terroristes qui pointent du nez, a appris Xinhua vendredi auprès des autorités sécuritaires.


A en croire celles-ci, les forces armées ont redoublé de vigilance pour dissuader et annihiler l'action de certaines personnes infiltrées.


Selon le ministre ivoirien de l'Intérieur Hamed Bakayoko, les forces de sécurité ont déjà procédé à des arrestations.


"Plusieurs individus interpellés à Abidjan par la Force de recherche d'action de la police ont avoué que leur objectif est de s'attaquer aux intérêts des occidentaux en Afrique", a révélé M. Bakayoko.


Le ministre a noté que depuis l'intervention de l'armée française au Nord du Mali, une information persistante faisait état de la présence discrète d'éléments jihadistes à Abidjan, et les autorités avaient commencé à prendre des dispositions.


De l'avis de celui-ci, les pays de la sous-région ont besoin d'un appui et d'une action synergique dans le cadre de la lutte contre le terrorisme.


Dans le cadre de la lutte contre le terrorisme et la grande criminalité, la Côte d'Ivoire a créé plusieurs unités d'élite dont la Force de recherche d'action de la police (FRAP) et la "Force spéciale".


Xinhuanet

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13 avril 2013 6 13 /04 /avril /2013 20:34

La population de Mafiblé 2, village situé dans la commune de Port-Bouët a vécu un véritable enfer, hier. Le conflit les opposant à des Ebrié auquel se sont mêlés des éléments des Frci a fait de nombreuses victimes dans le rang des villageois. Deux (02) morts retrouvés dans les broussailles, 23 blessés et plusieurs personnes enlevées, c’est le lourd bilan encore provisoire enregistré, hier, à 13 heures.

 

Des problèmes fonciers seraient à la base de ces affrontements. Selon Aké François, chef de village de Mafiblé, que nous avons rencontré au cabinet du maire de Port-Bouët, c’est le contrôle des terres de Mafiblé 2 par un collectif Ebrié des villages de Bringbo, Akoueagban, Anan, Abouabou, et de Petit-Bassam, qui a mis le feu aux poudres. Alors qu’à l’en croire, Mafiblé, créé en 1884, est un campement des Abouré de Moossou. «Le collectif a obtenu, dans notre dos, une grosse du tribunal qui leur accorde un titre foncier sur la propriété. Il a engagé des géomètres sur nos parcelles de terre. Nous les avons interpellés. Puis saisi le tribunal. Alors que l’affaire est pendante devant la justice, le collectif par le biais d’un opérateur économique, a fait venir un géomètre pour planter des bornes dans le village. Soutenu par deux-cents (200) éléments des Frci. La population a donc protesté et les Frci ont ouvert le feu. Aujourd’hui, ces militaires disent que ce sont les villageois qui ont été les premiers à tirer sur eux. Au moment où je vous parle, on vient de retrouver deux (02) morts dans la brousse. C’est faux», a déclaré le chef de Mafiblé.

 

Jusqu’à 17 heures, hier, la situation n’était pas encore sous contrôle. Malgré les nombreuses interventions de Mme Hortense Aka Anghui, maire de Port-Bouët. Pendant des heures et des heures, elle a tenté de joindre les autorités compétentes pour faire cesser les affrontements. En attendant, les blessés ont d’abord été évacués au dispensaire du Cnra avant d’être transférés à l’hôpital général de Port-Bouët.


DJE KM

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13 avril 2013 6 13 /04 /avril /2013 20:32

La problématique de l’emploi des jeunes est au cœur des préoccupations du patronat ivoirien. Selon une étude prospective menée par le patronat, la population active sans-emploi est estimée à 5 millions. Les raisons à cet important chômage seront analysées lors de la Cgeci Academy 2013 qui se tiendra les 16 et 17 mai prochains, à l’hôtel Ivoire. Cet évènement a pour objectif, entre autres, de susciter la vocation entrepreneuriale pour répondre aux défis d’une croissance inclusive, discuter des facteurs qui peuvent susciter la création d’entreprises, partager des success-story et des « échecs d’initiative privée» .


C’est pour lancer l’événement que le vice-président de la Cgeci, Bernard N’doumy, a animée, une conférence de presse, le jeudi 11 avril dernier, au siège du patronat. « La raison profonde de ce chômage grandissant est certainement lié au fait que les possibilités de recrutements, aussi bien dans l’administration publique que dans les entreprises privées et publiques existantes sont limitées. Face à ces constats quelle doit être l’attitude de l’individu en quête d’emploi ? Doit-il accepter la fatalité du chômage ou doit-il choisir d’être créateur d’emploi ? A l’évidence, l’entreprenariat semble être l’alternative idoine », a-t-il expliqué.


Aussi a-t-il levé un coin de voile sur l’édition 2013 de la Cgeci Academy. « Il s’agit d’inoculer dans l’esprit des jeunes le sérum de l’entreprenariat. Il faut mettre dans l’esprit de tous qu’on peut être jeune et dirigeant d’entreprise. Entreprendre s’adresse tout étant au jeune diplômé, au salarié, au retraité, à la personne en quête d’emploi. Entreprendre, c’est pouvoir remarquer et saisir les opportunités d’affaires », a-t-il indiqué.


J-S Lia

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13 avril 2013 6 13 /04 /avril /2013 20:29

 

La crise post-électorale n’a pas encore fini de livrer tous ses secrets. Deux ans après cette sordide crise qui a vu l’installation au forceps de Ouattara aux affaires, les langues continuent de se délier. Et non des moindres. Parmi les sachants, il y a des personnalités de tous ordres. Monseigneur Bernard Agré en fait certainement partie. Lui qui a tenu récemment des propos qui portent à croire qu’il en sait beaucoup, beaucoup trop même.

 

En effet, le Cardinal qui ne supporte pas que l’on cache la vérité est sorti de sa cachette le week-end dernier. Selon des témoins, le samedi 6 avril dernier, il était à l’église Sainte Marie Vianney, sise à Vridi-cité, dans la commune de Port- Bouët. «C’était à l’occasion d’une messe de requiem organisée en hommage à feu Bonebaud» , affirment les mêmes témoins. «En présence de l’ex-ministre Emile Kéi Boguinard» , précise nos informations. Intervenant à cette occasion, indiquent les mêmes sources, le Cardinal Bernard Agré a extériorisé le mal qui le ronge depuis l’avènement de la crise ivoirienne.

 

«…Aujourd’hui, la Côte d’Ivoire est à l’envers. La communauté internationale est à l’envers. On refuse de dire toute la vérité sur ce qui s’est passé en Côte d’Ivoire. Arrêtons de mentir ! Arrêtons de tuer ! Mon habit que je porte est blanc, mais on me dit d’accepter de dire qu’il est rouge. Alors que c’est blanc. C’est ce qui se passe en Côte d’Ivoire. Tout le monde connait la vérité, mais préfère se taire. Ce qui n’est pas bon !....» ,a été, on ne peut plus clair, Cardinal Agré qui en a certainement gros sur le cœur.

 

Venant de cet homme de Dieu, ce n’est pas étonnant. Il vit en Côte d’Ivoire. Et en tant que l’ex-chef de l’Eglise catholique de Côte d’Ivoire, il est l’un des chefs religieux les plus écoutés et les plus au fait des faits et gestes de nos gouvernants. C’est donc en connaissance de cause qu’il s’est permis de faire une telle sortie. Non pas lors d’une cérémonie mondaine, mais religieuse et dans une maison religieuse. Toute l’importance et tout le sens de cette sortie inattendue est là.


Source : LG Info (Ferdinand Bailly )

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13 avril 2013 6 13 /04 /avril /2013 20:28

Communiqué Relativement à l'exclusion du FPI du jeu électoral par le régime Ouattara.


Le pouvoir Ouattara, en décidant d’exclure le FPI du scrutin législatif en décembre 2011 sans avoir été interpellé par vous, et maintenant, en l’excluant encore du jeu électoral, relativement aux scrutins locaux, prend rendez-vous avec l’histoire en se rendant coupable d’une grave dérive totalitaire.


Ce pouvoir, installé à coups de bombes au nom de la démocratie au détriment du FPI, refuse d’appliquer les termes de la résolution 2062 du 17 juillet 2012 que vous avez produite au nom de l’ONU.


Il est encore temps d’arrêter ce cavalier seul du RDR et du RHDP qui conduit inexorablement la Côte d’Ivoire vers un régime de parti unique, ce qui constituerait pour nous, un recul de près d’un quart de siècle.


L’ONU et son Conseil de Sécurité jouent, à ce tournant de l’histoire de notre pays, leur crédibilité et ne peuvent plus s’autoriser sans dommage à produire des résolutions contre le seul camp Gbagbo. Tout comme, au demeurant, la Cour Pénale Internationale joue également sa crédibilité, dans un éventuel procès, qui ne visera que Laurent Gbagbo seul.


Le Front Populaire Ivoirien vous prend donc à témoin, en vous informant en même temps qu’il ne se taira pas, ni face à la dérive totalitaire du pouvoir Ouattara, ni lors de l’éventuel procès de Laurent Gbagbo, où il y a tant à dire sur toutes les complicités inavouables, lors de la crise électorale et post électorale.


Abidjan, le 11 avril 2013
Le Président par intérim
MIAKA Ouretto

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13 avril 2013 6 13 /04 /avril /2013 20:24

Amis lecteurs, bonjour. Bienvenue à notre revue de presse nationale sur linfodrome.com. Ce jeudi 11 avril 2013, nous avons comme sujets d’information : les deux ans de la chute du régime Gbagbo, la réponse des députés à Ouattara et la relation entre partis politiques. Bonne lecture à tous !


Deux ans de la chute de Gbagbo


11 avril 2011-11 avril 2013, exactement deux ans que le régime de Laurent Gbagbo est tombé. En ce jour commémoratif, les journaux en parlent. Dans un dossier spécial intitulé ‘‘Gbagbo raconte le chaos’’,  Le Temps présente les faits, le rôle joué par les différentes personnalités et institutions engagées dans la crise postélectorale. De Gbagbo, il livre des grands extraits de ses confidences à l’écrivain Charles Onana, sur les points saillants de la crise, notamment le bombardement de sa résidence er de son arrestation par les soldats français. « Les Français ont encerclé la résidence et au lieu d’achever le travail, c’est-à-dire de venir me prendre, ils ont envoyé les rebelles me prendre. Je tiens à préciser qu’ils ont envoyé les rebelles m’arrêter devant les caméras. Toutes les images que vous avez reçues sont des images des soldats français ». Le journal parle aussi de ce qu’est devenue la Côte d’Ivoire sous Ouattara, surtout ses promesses de « pluies de milliards qui se sont transformés en mirage ».

 

Le Nouveau Courrier note, quant à lui, que « deux ans après le chaos, le rattrapage ethnique continue ». Lui également, après avoir retracé la crise jusqu’au transfèrement de Gbagbo à La Haye, écrit que la démocratie est assassinée et on assiste au règne du chaos. Il relève une politique ethno-tribaliste ‘‘rattrapage’’ au profit des ressortissants du nord de la Côte d’Ivoire, la confiscation de la liberté syndicale, le musèlement de l’opposition, l’arrestation des dirigeants de l’opposition, la violation des droits de l’homme, etc. A ce propos, Diabaté Bêh, un témoin oculaire qui a vécu auprès de Gbagbo ses derniers instants dans sa résidence, raconte dans Notre Voie que « c’est un assassinat manqué » qui a eu lieu. Il a raconté la vie dans la résidence Gbagbo au moment du bombardement. Les Ivoiriens eux ont fait le point de ces deux ans de chute de Gbagbo et de règne de Ouattara.

 

Dans un panel de L’Intelligent d’Abidjan, la plupart des intervenants dénoncent la cherté de la vie, l’insécurité, que ce que le pouvoir actuel a critiqué, c’est ce qu’il fait. Quelques-uns ont estimé qu’il y a des avancées et que les investisseurs frappent à la porte du pays.


La réponse des députés à Ouattara


Le chef de l’État avait demandé aux députés de lui permettre de prendre par ordonnance des mesures relevant de la loi. Les parlementaires lui ont donné leur réponse. A en croire Le Patriote, les députés qui ont planché sur la question hier à l’hémicycle, ont donné quitus au Président Ouattara. La volonté du chef de l’État de prendre des décisions relevant du domaine de la loi est expliquée par son désir de mettre en exécution son programme en matière économique et financières. Cela est-il légal ?

 

Certainement pour éclairer la lanterne des ivoiriens et éviter toute polémique sur le sujet, Fraternité Matin titre : « Gouvernement par ordonnance, ce que dit l’article 75 de la Constitution ». Ledit article stipule que « le Président peut, pour l’exécution de son programme, demander à l’Assemblée nationale, l’autorisation de prendre par ordonnance, pendant un délai limité, des mesures qui sont normalement du domaine de la loi. Les ordonnances sont prises en Conseil des ministres après avis éventuel du Conseil constitutionnel. Elles entrent en vigueur dès leur publication… ».

 

Le Nouveau Réveil vient clarifier en posant cette question : « Ouattara peut-il gouverner par ordonnance ». La réponse est donnée par le président de la commission économique et financière de l’Assemblée nationale, Koné Ibrahim qui a éclairé que « le recours aux ordonnance s’avère une nécessité dans le fonctionnement de nos institutions. Encore qu’il ne prive pas le parlement de ses compétences et de ses moyens de contrôle ». Cette loi a été adoptée à la majorité des 183 votants contre quatre oppositions et une abstention, précise le quotidien.


Difficiles relations entre partis politiques


Les élections locales sont une épreuve à la cohésion de la coalition au pouvoir, le Rassemblement des Houphouëtistes pour le Développement et la Paix (RHDP).

 

Soir Info titre : « Municipales et régionales 2013, le RHDP au bord de l’éclatement ». Il écrit que la rivalité entre des candidats du PDCI et ceux du RDR, opposés dans le cadre des élections couplées, menace sérieusement l’alliance longtemps entretenue par ces formations politiques. Il évoque les palabres entre certains candidats tels que le maire N’dohi (PDCI) et son adversaire, le ministre Bacongo (RDR) à Koumassi, et l’ex-ministre Banzio (PDCI) et son adversaire, la ministre de la Famille Anne Ouloto (RDR) dans le Cavally.

 

De l’autre côté, Le Quotidien d’Abidjan affiche que «24 heures avant sa rencontre avec François Hollande, chaudes empoignades entre Ouattara et Soro ». Selon le quotidien, Ouattara qui est France en visite privée depuis le 9 avril, au cours de laquelle il rencontrera le Président français aujourd’hui, n’aurait pas apprécié le séjour trop prolongé de Soro Guillaume à l’extérieur. Il lui aurait exigé des explications sur ce fait. « Mais le ton et la forme utilisés par le chef de l’État a suscité de chaudes empoignades entre les deux hauts responsables du pays. Soro n’aurait pas aimé cette injonction du chef de l’État  qui l’aurait, selon des indiscrétions, soupçonné d’accorder des audiences informelles à des autorités françaises de premier plan », a dit une source.

 

Plus grave, le mouvement d’un député du RDR dénommé ‘‘Coalition pour la Changement’’ a porté plainte contre un autre député, Konan Kouadio Bertin  (PDCI) pour propos tribalistes auprès du Procureur de la République. Il lui reproche d’avoir appelé les populations de Diégonefla à voter sur la base de leur ethnie et de leur tribu et de ne pas accorder leurs suffrages aux candidats qui ne sont pas de leur région ou ethnie.


(linfodrome)

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13 avril 2013 6 13 /04 /avril /2013 20:22

 

L’actuel chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara a été reçu, hier, par le président français François Hollande. Au sortir de l’audience, il a affirmé à la presse, à propos des élections locales, que «le Fpi est présent à ces élections avec des listes indépendantes ». Nous vous livrons la réaction du FPI, à travers son porte-parole, Dr. Richard Kodjo.


Notre Voie : Monsieur le secrétaire général du FPI, au sortir d’une audience hier avec François Hollande, Alassane Ouattara a affirmé que le Fpi est présent aux municipales et Régionales avec des candidats indépendants. Il a également dit vous avoir fait toutes les concessions. Que répondez-vous ?


Dr. Richard Kodjo: Je suis désolé de constater qu’à ce niveau de responsabilité qu’il se trouve, Ouattara dise des contrevérités. Le Fpi était en négociation avec le gouvernement. Et il était question qu’on s’entende sur la base minimale de la résolution 2062 de l’Onu. Qui suggère notamment que, premièrement, le pouvoir et son opposition significative décident de façon consensuelle d’une date opportune de tenue des élections locales. Deuxièmement, il fallait une réforme de la Commission électorale indépendante (Cei). Parce que la Cei actuelle où sont représentés le Mpigo, le Mpci et Mjp, des organisations qui n’existent plus, et dont la mission s’est arrêtée après les élections présidentielles et législatives, est illégale. Non seulement nous n’avons pas obtenu satisfaction sur ces deux points, mais c’est un coup de poignard dans le dos que le pouvoir nous a infligé en fixant de façon unilatérale la date des élections pendant que nous discutions.


Nous le leur avons rappelé à l’entrevue du 8 mars 2013 avec le Premier ministre Duncan. Qui a affirmé, et je le cite : «On ne reportera pas la date des élections. En ce qui concerne la Cei, on en discutera après les élections».


Nous en avons déduit que le gouvernement et le Rhdp ne veulent pas du Fpi à ces élections. M. Ouattara a voulu des élections à caractère monopartisan. Donc qu’il n’aille pas dire des contrevérités !


Ouattara et son gouvernement ont décidé de nous exclure des élections. Mais, comme nous sommes des démocrates et que nous ne voulons pas qu’on nous accuse d’avoir rompu les négociations, nous avons décidé de discuter jusqu’au bout.


N.V.: Que doit-on donc retenir après cette sortie de Ouattara ?


Dr. R.K.: Ce que nos militants doivent retenir et au-delà d’eux l’ensemble des Ivoiriens épris de justice, de paix et attachés à la démocratie, c’est que le Fpi n’est pas concerné par ces élections. Par conséquent, il n’a pas de tête de liste. Pas même sous forme d’indépendant. Et quiconque s’inscrira sur une liste ou même fera campagne pour un adversaire sera suspendu du parti jusqu’au prochain congrès. C’est une position qui a été clairement dégagée depuis la conférence de presse du président Miaka et confirmée par le Comité central. Qu’on le retienne une fois pour toutes, ces élections ne concernent pas le Fpi.


Propos recueillies par
Boga Sivori

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13 avril 2013 6 13 /04 /avril /2013 20:19

 

Marquer d’une pierre blanche le mois de mars, décrété “Mois de la Femme”, mais également permettre de rendre visibles les actions des femmes qui affirment leur leadership dans leurs domaines de compétences respectifs. Ce sont entre autres objectifs visés par la marque de pagnes Vlisco en organisant le prix “Be your dream” (réalise ton rêve) dont la publication du palmarès a eu lieu le vendredi 5 avril dernier à l’Espace Cristal en Zone 3- Marcory. Par le truchement d’un somptueux dîner- gala, le Prix “Be your dream” a été décerné à Mme Botti Lou Rosalie. « Je suis très heureuse ce soir, je remercie Vlisco de m’avoir fait ce grand honneur. Merci à tous », a-t-elle dit en réceptionnant son prix des mains du Directeur général d’Uniwax, Jean-Louis Ménudier. Le prix que reçoit Mme Botti Lou, il faut le préciser, est doté d’un voyage aller- retour en Hollande tous frais payés et de lots de pagnes.


Pour cette distinction, la présidente de la Coopérative des Commerçantes de Produits Vivriers de la Commune de Cocody (COCOVICO) était en lice avec la comédienne Akissi Delta (comédienne et réalisatrice du téléfilm “Ma famille”); Isabelle Anoh (Directrice d’Avant- Garde production) et Professeur Hélène Etté (unique femme Médecin légiste). Ces quatre dames ont été soumises au vote du public. Pour donner un cachet particulier à la fête, Gilles Touré, l’un des meilleurs créateurs de mode en Côte d’Ivoire a, par un défilé, fait découvrir ses dernières créations.

 

La note musicale a été assurée par Dobet Gnahoré, Bailly Spinto et l’orchestre de balafonistes “Djarabikan”. La soirée était animée par le sémillant du Mariam Coulibaly-Yves de M’Bella. C’était un pari que Vlisco entendait relever. En permettant à Dr Etté, Isabelle Anoh, Akissi Delta et Botti Lou Rosalie d’affirmer davantage leur leadership, cette entreprise contribue également à donner un coup d’accélérateur à la promotion de la mode ivoirienne via le pagne savamment taillé par Gilles Touré et qu’elles arboraient fièrement. En réalité, le concept “Be your dream” a véritablement impacté le public ivoirien.


Jean- Antoine Doudou

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13 avril 2013 6 13 /04 /avril /2013 20:18

Les Eléphants de Côte d'Ivoire continuent d'inspirer respect et considération sur l'échiquier mondial. 13è au classement précédent, ils ont retrouvé la 12è place ce mois-ci.


Les pachydermes, invaincus depuis leur quart de finale désastreux face au Nigeria, lors de la dernière Coupe d'Afrique des nations, toisent ainsi le peloton de tête et tutoient ouvertement le top 10. Ils sont aux portes des meilleures nations de football au monde, s'ils n'en font déjà pas partie avec cette 12è place qui leur permet de  devancer la France (18è) et le Brésil (19è).


D'ailleurs, ce n'est pas la première fois que la Côte d'Ivoire supplante ces deux nations. Leader en Afrique, la Côte d'Ivoire est secondée sur le continent par le Ghana. Les Black Stars (2è africain) arrivent à la 22è place mondiale derrière la Bosnie-Herzégovine (21è), mais devant le Chili (23è). Le Mali, 3è africain, occupe la 26è place. Suit le Nigeria, vainqueur de la CAN 2013. Les Super Eagles (4è africain, 31è mondial), l'Algérie (5è, 35è), la Tunisie (6è, 41è), la Zambie (7è, 45è) et le Burkina (8è, 50è) se placent dans le top 50 mondial. Le Nigeria et le Burkina Faso, les deux finalistes de la CAN 2013, qui ont fait des bonds prodigieux au sortir de cette compétition en engrangeant respectivement 22 et 37 rangs pour se hisser à la 30è et 55è place, se maintiennent parmi les 50 premières nations.


Le podium du classement de ce mois reste inchangé. L'Espagne (1er), l'Allemagne (2è) et l'Argentine (3è) paradent toujours gaiement en tête. La Croatie fait une percée spectaculaire pour échouer au pied du podium (4è) devant le Portugal (5è), l'Angleterre (7è), l'Italie (8è) et les Pays-Bas (9è).

 

 Litié BOAGNON

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13 avril 2013 6 13 /04 /avril /2013 20:16

Environ 250.000 élèves affectés par l’Etat dans les écoles privés laïques d’enseignement et de formation de Côte d’Ivoire seront exclus le mardi 16 avril prochain. Ainsi en a décidé Fédération nationale des établissements privés laïcs d’enseignement et de formation de Côte d’Ivoire (Fenaplaci). Elle a fait l’annonce, hier, à son siège aux II-Plateaux (Abidjan-Cocody).


Pourquoi l’Assemblée générale de la Feneplaci du 28 mars dernier a-t-elle pris une telle décision ?

 

Selon le vice-président Oulaï Alexis, l’Etat a accumulé des arriérés de paiement au titre des frais d’écolage qui s’élèvent à 21,5 milliards Fcfa. Dans le détail, a-t-il expliqué, la créance de l’enseignement privé laïc sur l’Etat de Côte d’Ivoire se chiffre à 130 milliards Fcfa. Pour l’apurement de cette dette, le conférencier a fait savoir qu’un protocole a été signé entre l’Etat à travers la direction générale du Trésor, et les responsables d’associations de fondateurs. Ledit protocole, précisons-le, stipule qu’au terme de chaque trimestre, la paierie générale du trésor procèderait au règlement d’un montant de 15 milliards Fcfa. Pourtant, a-t-il continué, à fin 2012, l’Etat accusait un retard de 6,5 milliards Fcfa et à fin mars 2013, un retard de paiement de 15 milliards Fcfa. Soit un total de 21,5 milliards Fcfa dont les responsables de la Feneplaci exigent le paiement avant toute chose.


En outre, les responsables de l’enseignement privé laïc ont dénoncé le non-respect par le trésor public du protocole d’accord et exigent le strict respect de l’échéancier de paiement des frais d’écolage dus, conformément pris le 02 avril par le directeur général du trésor et de la comptabilité publique.

Koné Modeste

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